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Auteur Alfred de Musset (1810-1857) |
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Un caprice / Alfred de Musset
Titre : Un caprice Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Année de publication : cop. 1837 Importance : 1 vol. (47 p.) ; 30 cm Note générale : Proverbe en un acte, représenté pour la première fois au théâtre français le 27 novembre 1847 Langues : Français (fre) Catégories : Comédie
DrameIndex. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce raconte l'histoire de Mathilde, une belle et tendre jeune femme mariée à un libertin, monsieur de Chavigny. Un soir, alors qu'elle confectionne une bourse pour son mari1, il lui apprend qu'on lui en a offert une la veille. Mathilde et monsieur de Chavigny se disputent, puis monsieur de Chavigny se rend à un bal, et madame de Léry vient rendre visite à Mathilde, qui lui raconte ce qui vient de se passer. Celle-ci se lance alors dans la mission délicate de réconcilier les époux. Mission délicate en vérité, car elle va retourner ses propres armes contre monsieur de Chavigny, mettant en œuvre séduction et badinage. Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 2 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=198 Un caprice [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - cop. 1837 . - 1 vol. (47 p.) ; 30 cm.
Proverbe en un acte, représenté pour la première fois au théâtre français le 27 novembre 1847
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie
DrameIndex. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce raconte l'histoire de Mathilde, une belle et tendre jeune femme mariée à un libertin, monsieur de Chavigny. Un soir, alors qu'elle confectionne une bourse pour son mari1, il lui apprend qu'on lui en a offert une la veille. Mathilde et monsieur de Chavigny se disputent, puis monsieur de Chavigny se rend à un bal, et madame de Léry vient rendre visite à Mathilde, qui lui raconte ce qui vient de se passer. Celle-ci se lance alors dans la mission délicate de réconcilier les époux. Mission délicate en vérité, car elle va retourner ses propres armes contre monsieur de Chavigny, mettant en œuvre séduction et badinage. Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 2 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=198
Un caprice
La pièce raconte l'histoire de Mathilde, une belle et tendre jeune femme mariée à un libertin, monsieur de Chavigny. Un soir, alors qu'elle confectionne une bourse pour son mari1, il lui apprend qu'on lui en a offert une la veille. Mathilde et monsieur de Chavigny se disputent, puis monsieur de Chavigny se rend à un bal, et madame de Léry vient rendre visite à Mathilde, qui lui raconte ce qui vient de se passer. Celle-ci se lance alors dans la mission délicate de réconcilier les époux. Mission délicate en vérité, car elle va retourner ses propres armes contre monsieur de Chavigny, mettant en œuvre séduction et badinage.
Musset, Alfred de (1810-1857) - cop. 1837
Proverbe en un acte, représenté pour la première fois au théâtre français le 27 novembre 1847
Un caprice
La pièce raconte l'histoire de Mathilde, une belle et tendre jeune femme mariée à un libertin, monsieur de Chavigny. Un soir, alors qu'elle confectionne une bourse pour son mari1, il lui apprend qu'on lui en a offert une la veille. Mathilde et monsieur de Chavigny se disputent, puis monsieur de Chavigny se rend à un bal, et madame de Léry vient rendre visite à Mathilde, qui lui raconte ce qui vient de se passer. Celle-ci se lance alors dans la mission délicate de réconcilier les époux. Mission délicate en vérité, car elle va retourner ses propres armes contre monsieur de Chavigny, mettant en œuvre séduction et badinage.
Musset, Alfred de (1810-1857) - cop. 1837
Proverbe en un acte, représenté pour la première fois au théâtre français le 27 novembre 1847
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190112 T MUS Photocopie ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée / Alfred de Musset
Titre : Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Année de publication : 1964 Importance : p. 113-127 Langues : Français (fre) Catégories : Comédie
ProverbeIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d’hiver. C’est son jour de réception mais il est l’unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour. Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s’achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer. Nb de personnages : 2 Nb d'hommes : 1 Nb de femmes : 1 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=230 Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - 1964 . - p. 113-127.
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie
ProverbeIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d’hiver. C’est son jour de réception mais il est l’unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour. Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s’achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer. Nb de personnages : 2 Nb d'hommes : 1 Nb de femmes : 1 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=230
Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée
Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d’hiver. C’est son jour de réception mais il est l’unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour. Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s’achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer.
Musset, Alfred de (1810-1857) - 1964
Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée
Le Comte se rend chez la Marquise, un après-midi d’hiver. C’est son jour de réception mais il est l’unique visiteur : dehors il fait froid et il pleut. Débute un badinage galant : le comte révèle son amour mais la Marquise se moque de ses façons de faire la cour. Le comte multiplie les faux-départs. La sincérité triomphe enfin et la pièce s’achève sur les fiançailles des deux amoureux – la porte peut se fermer.
Musset, Alfred de (1810-1857) - 1964
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Editeur : Larousse Année de publication : 1992 Collection : Classiques Importance : 1 vol. (160 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-871344-2 Note générale : Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française. Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153 Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - Larousse, 1992 . - 1 vol. (160 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm. - (Classiques) .
ISBN : 978-2-03-871344-2
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153 Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - France : Larousse - 1992
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - France : Larousse - 1992
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190064 T MUS Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt
Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Editeur : Paris [France] : Flammarion Année de publication : 1997 Collection : G.F., ISSN 0768-0465 num. 907 Importance : 1 vol. (157 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-070907-3 Note générale : Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française. Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Bibliogr. p. [156]-157 Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=98 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - Paris [France] : Flammarion, 1997 . - 1 vol. (157 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (G.F., ISSN 0768-0465; 907) .
ISBN : 978-2-08-070907-3
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Bibliogr. p. [156]-157 Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=98
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - Paris (France) : Flammarion - 1997
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Bibliogr. p. [156]-157
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - Paris (France) : Flammarion - 1997
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Bibliogr. p. [156]-157
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190177 T MUS Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt On ne badine pas avec l'amour / Alfred de Musset
Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Année de publication : 1964 Importance : p. 36-90 Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=229 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - 1964 . - p. 36-90.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=229
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - 1964
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - 1964
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée / Alfred de MussetPermalink