Titre : |
Deux papas très bien |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Eugène Labiche (1815-1888), Auteur ; Auguste Lefranc, Auteur |
Année de publication : |
cop. 1844 |
Note générale : |
Comédie en un acte. Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 6 novembre 1844. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Comédie Vaudeville
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Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l’Académie d’Etampes, et propriétaire d’une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu’il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l’académicien d’Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu’on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n’épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c’est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c’est que ce fils n’est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s’habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l’endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage. |
Nb de personnages : |
6 |
Nb d'hommes : |
5 |
Nb de femmes : |
1 |
Permalink : |
http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=296 |
Deux papas très bien [texte imprimé] / Eugène Labiche (1815-1888), Auteur ; Auguste Lefranc, Auteur . - cop. 1844. Comédie en un acte. Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 6 novembre 1844. Langues : Français ( fre) Catégories : |
Comédie Vaudeville
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Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l’Académie d’Etampes, et propriétaire d’une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu’il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l’académicien d’Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu’on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n’épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c’est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c’est que ce fils n’est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s’habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l’endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage. |
Nb de personnages : |
6 |
Nb d'hommes : |
5 |
Nb de femmes : |
1 |
Permalink : |
http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=296 |
Deux papas très bien
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l’Académie d’Etampes, et propriétaire d’une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu’il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l’académicien d’Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu’on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n’épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c’est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c’est que ce fils n’est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s’habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l’endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.
Labiche, Eugène (1815-1888)Lefranc, Auguste - -
cop. 1844
Comédie en un acte. Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 6 novembre 1844.
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Deux papas très bien
Tourterot, vieillard de Châtellerault, voulant marier son fils, attire dans la maison M. Poupardin, membre de l’Académie d’Etampes, et propriétaire d’une fille jeune et jolie. Touterot qui, durant un court séjour qu’il fit à Paris, auprès de son fils, étudiant en médecine, a pris le langage et les habitudes du beau monde de la Chaumière, parle argot à l’académicien d’Etampes, qui ne comprend rien à cette façon de parler. Mais jugeant le garçon qu’on destine à sa fille par le père, il jure que jamais elle n’épousera un étudiant de Paris. — Heureusement celui-ci arrive ; — c’est un homme comme un autre ; habit noir, cravate blanche, souliers vernis. — Touterot lui-même ne reconnaît plus son fils ; c’est que ce fils n’est plus un garçon qui, pour faire comme ses camarades, avait crû devoir être extravagant dans sa toilette, de mauvais goût dans son langage et ridicule en tout, mais un homme raisonnable qui s’habille et parle comme tout le monde. — Poupardin, heureusement désabusé à l’endroit du jeune Touterot, lui donne sa fille en mariage.
Labiche, Eugène (1815-1888)Lefranc, Auguste - -
cop. 1844
Comédie en un acte. Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Palais-Royal, le 6 novembre 1844.
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