Titre : |
Le Roi des Frontins |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Eugène Labiche (1815-1888), Auteur |
Année de publication : |
cop. 1845 |
Note générale : |
Comédie-vaudeville en deux actes, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 28 mars 1845. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Comédie Vaudeville
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Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
« Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l’abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l’exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l’art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l’hôtel, à condition qu’il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n’a d’autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l’hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d’abord de l’air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin. Un jeune seigneur compromis dans une conspiration et fuyant la police, échange contre le modeste habit du comte de Bethmont un habit de velours et d’or dans lequel se trouve vingt-six louis. Le maître de Frontin conçoit dès lors la meilleure opinion de son valet, qui marche de succès en succès, et à qui tout réussit, sans qu’il sache comment ni pourquoi. C’est un sort qu’on lui a jeté et il est stupéfié de son bonheur. Le comte de Bethmont a été arrêté sous le nom du marquis de Cérigny, à cause de l’habit qu’il porte. Frontin obtient la liberté de son maître et un laissez-passer pour lui-même. Puis, sous la robe d’un avocat, il gagne le procès de son maître contre un fripon d’usurier. Enfin l’heureux Frontin qui se trouve être le filleul mentionné dans le testament cause du procès, devient riche à son tour ; et délaissant la livrée qui lui a donné tant de pouvoir et de bonheur, il reprend son nom de Thomas et se retire à Poissy, sa ville natale, emportant la réputation d’homme de génie et le surnom de roi des Frontins. |
Nb de personnages : |
10 |
Nb d'hommes : |
8 |
Nb de femmes : |
2 |
Permalink : |
http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=301 |
Le Roi des Frontins [texte imprimé] / Eugène Labiche (1815-1888), Auteur . - cop. 1845. Comédie-vaudeville en deux actes, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 28 mars 1845. Langues : Français ( fre) Catégories : |
Comédie Vaudeville
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Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
« Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l’abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l’exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l’art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l’hôtel, à condition qu’il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n’a d’autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l’hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d’abord de l’air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin. Un jeune seigneur compromis dans une conspiration et fuyant la police, échange contre le modeste habit du comte de Bethmont un habit de velours et d’or dans lequel se trouve vingt-six louis. Le maître de Frontin conçoit dès lors la meilleure opinion de son valet, qui marche de succès en succès, et à qui tout réussit, sans qu’il sache comment ni pourquoi. C’est un sort qu’on lui a jeté et il est stupéfié de son bonheur. Le comte de Bethmont a été arrêté sous le nom du marquis de Cérigny, à cause de l’habit qu’il porte. Frontin obtient la liberté de son maître et un laissez-passer pour lui-même. Puis, sous la robe d’un avocat, il gagne le procès de son maître contre un fripon d’usurier. Enfin l’heureux Frontin qui se trouve être le filleul mentionné dans le testament cause du procès, devient riche à son tour ; et délaissant la livrée qui lui a donné tant de pouvoir et de bonheur, il reprend son nom de Thomas et se retire à Poissy, sa ville natale, emportant la réputation d’homme de génie et le surnom de roi des Frontins. |
Nb de personnages : |
10 |
Nb d'hommes : |
8 |
Nb de femmes : |
2 |
Permalink : |
http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=301 |
Le Roi des Frontins
« Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l’abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l’exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l’art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l’hôtel, à condition qu’il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n’a d’autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l’hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d’abord de l’air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin. Un jeune seigneur compromis dans une conspiration et fuyant la police, échange contre le modeste habit du comte de Bethmont un habit de velours et d’or dans lequel se trouve vingt-six louis. Le maître de Frontin conçoit dès lors la meilleure opinion de son valet, qui marche de succès en succès, et à qui tout réussit, sans qu’il sache comment ni pourquoi. C’est un sort qu’on lui a jeté et il est stupéfié de son bonheur. Le comte de Bethmont a été arrêté sous le nom du marquis de Cérigny, à cause de l’habit qu’il porte. Frontin obtient la liberté de son maître et un laissez-passer pour lui-même. Puis, sous la robe d’un avocat, il gagne le procès de son maître contre un fripon d’usurier. Enfin l’heureux Frontin qui se trouve être le filleul mentionné dans le testament cause du procès, devient riche à son tour ; et délaissant la livrée qui lui a donné tant de pouvoir et de bonheur, il reprend son nom de Thomas et se retire à Poissy, sa ville natale, emportant la réputation d’homme de génie et le surnom de roi des Frontins.
Labiche, Eugène (1815-1888) -
cop. 1845
Comédie-vaudeville en deux actes, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 28 mars 1845.
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Le Roi des Frontins
« Le comte de Bethmont est ruiné, ses valets l’abandonnent et Frontin, rusé coquin, voleur, comme un valet de bonne maison, va suivre l’exemple de ses camarades. Frontin excelle surtout dans l’art de contrefaire et de prendre la signature des honnêtes gens.—On doit tout prendre des honnêtes gens, dit le drôle.—Enfin son maître lui permet de quitter l’hôtel, à condition qu’il trouvera pour le remplacer un valet adroit et dévoué. Un pauvre diable de marchand de canards, qui n’a d’autres ressources que de manger son fonds, vient à passer devant l’hôtel. Frontin lui fait endosser la livrée en lui promettant une place superbe. Notre marchand de canards, grâce à une leçon que lui a donnée Frontin, se présente au comte et prend des petits airs de roué. Le comte de Berthmont effrayé d’abord de l’air bête du nouveau Frontin, finit par avoir confiance en lui, et lui ordonne de lui procurer un riche vêtement et vingt-cinq louis. La providence vient servir à souhait le pauvre Frontin. Un jeune seigneur compromis dans une conspiration et fuyant la police, échange contre le modeste habit du comte de Bethmont un habit de velours et d’or dans lequel se trouve vingt-six louis. Le maître de Frontin conçoit dès lors la meilleure opinion de son valet, qui marche de succès en succès, et à qui tout réussit, sans qu’il sache comment ni pourquoi. C’est un sort qu’on lui a jeté et il est stupéfié de son bonheur. Le comte de Bethmont a été arrêté sous le nom du marquis de Cérigny, à cause de l’habit qu’il porte. Frontin obtient la liberté de son maître et un laissez-passer pour lui-même. Puis, sous la robe d’un avocat, il gagne le procès de son maître contre un fripon d’usurier. Enfin l’heureux Frontin qui se trouve être le filleul mentionné dans le testament cause du procès, devient riche à son tour ; et délaissant la livrée qui lui a donné tant de pouvoir et de bonheur, il reprend son nom de Thomas et se retire à Poissy, sa ville natale, emportant la réputation d’homme de génie et le surnom de roi des Frontins.
Labiche, Eugène (1815-1888) -
cop. 1845
Comédie-vaudeville en deux actes, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 28 mars 1845.
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