Titre : |
Mademoiselle ma femme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Eugène Labiche (1815-1888), Auteur ; Auguste Lefranc, Auteur |
Année de publication : |
cop. 1846 |
Note générale : |
Comédie en un acte, mêlée de couplets, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 9 avril 1846. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Chants Comédie Vaudeville
|
Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
« Jeudi on a joué un petit vaudeville sous le titre de Mademoiselle ma ma femme. Voici l’histoire : Un jeune diplomate épouse par ordre impérial une petite fille de quinze ans ; et, toujours par ordre impérial, il part pour Naples, sans avoir vu sa femme. Il reste cinq ans absent, et quand il est près de revenir, lajeune épouse à qui la correspondance suffisait à peine, va au-devant de son mari, et l’accompagne sans se faire reconnaître depuis Marseille jusqu’à Aix. M. de Saint-Auge, c’est le nom du diplomate, trouve sa voisine charmante — le gourmand ! c’est Nathalie — et lui fait une cour très vive. M » » de Saint-Ange est enchantée de l’amant, mais pour mystifier le mari infidèle, et supposant d’ailleurs les amants préférables aux maris, ce qui dénote beaucoup d’expérience pour une jeune femme qui ne l’est pas encore, elle veut prolonger l’erreur de M. de Saint-Ange et accepte un rendez-vous.
Cette conduite ne tarde pas à la compromettre, car le rendez-vous est surpris par un ci-devant jeune homme qui, se permettant sur elle les suppositions les plus hasardées, vient lui faire une de ces offres anodines qui sont de véritables outrages. Forcée de s’abriter sous le nom de son mari, la jeune imprudente ne cache plus son titre, tout se découvre et l’avantage reste à l’époux qui, après de sévères reproches, pardonne enfin à sa femme.
Cette pièce renferme de jolis couplets et deux ou trois scènes charmantes de dialogue, d’esprit et de finesse, mais un peu trop de longueurs; le dénouement surtout doit être plus serré. Aussi les noms aimés de MM.Labiche et Lefranc n’ont-ils pas été salués avec le même bonheur que de coutume. Si cette pièce parvient à décarêmer la caisse du théâtre — et nous l’espérons, — on le devra surtout à Mlle Nathalie, à Luguet et à Grassot qui se montrent ici comme partout, de véritables comédiens d’élite. H. Tassin » |
Nb de personnages : |
7 |
Nb d'hommes : |
5 |
Nb de femmes : |
2 |
Permalink : |
http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=303 |
Mademoiselle ma femme [texte imprimé] / Eugène Labiche (1815-1888), Auteur ; Auguste Lefranc, Auteur . - cop. 1846. Comédie en un acte, mêlée de couplets, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 9 avril 1846. Langues : Français ( fre) Catégories : |
Chants Comédie Vaudeville
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Index. décimale : |
T Théâtre |
Résumé : |
« Jeudi on a joué un petit vaudeville sous le titre de Mademoiselle ma ma femme. Voici l’histoire : Un jeune diplomate épouse par ordre impérial une petite fille de quinze ans ; et, toujours par ordre impérial, il part pour Naples, sans avoir vu sa femme. Il reste cinq ans absent, et quand il est près de revenir, lajeune épouse à qui la correspondance suffisait à peine, va au-devant de son mari, et l’accompagne sans se faire reconnaître depuis Marseille jusqu’à Aix. M. de Saint-Auge, c’est le nom du diplomate, trouve sa voisine charmante — le gourmand ! c’est Nathalie — et lui fait une cour très vive. M » » de Saint-Ange est enchantée de l’amant, mais pour mystifier le mari infidèle, et supposant d’ailleurs les amants préférables aux maris, ce qui dénote beaucoup d’expérience pour une jeune femme qui ne l’est pas encore, elle veut prolonger l’erreur de M. de Saint-Ange et accepte un rendez-vous.
Cette conduite ne tarde pas à la compromettre, car le rendez-vous est surpris par un ci-devant jeune homme qui, se permettant sur elle les suppositions les plus hasardées, vient lui faire une de ces offres anodines qui sont de véritables outrages. Forcée de s’abriter sous le nom de son mari, la jeune imprudente ne cache plus son titre, tout se découvre et l’avantage reste à l’époux qui, après de sévères reproches, pardonne enfin à sa femme.
Cette pièce renferme de jolis couplets et deux ou trois scènes charmantes de dialogue, d’esprit et de finesse, mais un peu trop de longueurs; le dénouement surtout doit être plus serré. Aussi les noms aimés de MM.Labiche et Lefranc n’ont-ils pas été salués avec le même bonheur que de coutume. Si cette pièce parvient à décarêmer la caisse du théâtre — et nous l’espérons, — on le devra surtout à Mlle Nathalie, à Luguet et à Grassot qui se montrent ici comme partout, de véritables comédiens d’élite. H. Tassin » |
Nb de personnages : |
7 |
Nb d'hommes : |
5 |
Nb de femmes : |
2 |
Permalink : |
http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=303 |
Mademoiselle ma femme
« Jeudi on a joué un petit vaudeville sous le titre de Mademoiselle ma ma femme. Voici l’histoire : Un jeune diplomate épouse par ordre impérial une petite fille de quinze ans ; et, toujours par ordre impérial, il part pour Naples, sans avoir vu sa femme. Il reste cinq ans absent, et quand il est près de revenir, lajeune épouse à qui la correspondance suffisait à peine, va au-devant de son mari, et l’accompagne sans se faire reconnaître depuis Marseille jusqu’à Aix. M. de Saint-Auge, c’est le nom du diplomate, trouve sa voisine charmante — le gourmand ! c’est Nathalie — et lui fait une cour très vive. M » » de Saint-Ange est enchantée de l’amant, mais pour mystifier le mari infidèle, et supposant d’ailleurs les amants préférables aux maris, ce qui dénote beaucoup d’expérience pour une jeune femme qui ne l’est pas encore, elle veut prolonger l’erreur de M. de Saint-Ange et accepte un rendez-vous.
Cette conduite ne tarde pas à la compromettre, car le rendez-vous est surpris par un ci-devant jeune homme qui, se permettant sur elle les suppositions les plus hasardées, vient lui faire une de ces offres anodines qui sont de véritables outrages. Forcée de s’abriter sous le nom de son mari, la jeune imprudente ne cache plus son titre, tout se découvre et l’avantage reste à l’époux qui, après de sévères reproches, pardonne enfin à sa femme.
Cette pièce renferme de jolis couplets et deux ou trois scènes charmantes de dialogue, d’esprit et de finesse, mais un peu trop de longueurs; le dénouement surtout doit être plus serré. Aussi les noms aimés de MM.Labiche et Lefranc n’ont-ils pas été salués avec le même bonheur que de coutume. Si cette pièce parvient à décarêmer la caisse du théâtre — et nous l’espérons, — on le devra surtout à Mlle Nathalie, à Luguet et à Grassot qui se montrent ici comme partout, de véritables comédiens d’élite. H. Tassin »
Labiche, Eugène (1815-1888)Lefranc, Auguste - -
cop. 1846
Comédie en un acte, mêlée de couplets, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 9 avril 1846.
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Mademoiselle ma femme
« Jeudi on a joué un petit vaudeville sous le titre de Mademoiselle ma ma femme. Voici l’histoire : Un jeune diplomate épouse par ordre impérial une petite fille de quinze ans ; et, toujours par ordre impérial, il part pour Naples, sans avoir vu sa femme. Il reste cinq ans absent, et quand il est près de revenir, lajeune épouse à qui la correspondance suffisait à peine, va au-devant de son mari, et l’accompagne sans se faire reconnaître depuis Marseille jusqu’à Aix. M. de Saint-Auge, c’est le nom du diplomate, trouve sa voisine charmante — le gourmand ! c’est Nathalie — et lui fait une cour très vive. M » » de Saint-Ange est enchantée de l’amant, mais pour mystifier le mari infidèle, et supposant d’ailleurs les amants préférables aux maris, ce qui dénote beaucoup d’expérience pour une jeune femme qui ne l’est pas encore, elle veut prolonger l’erreur de M. de Saint-Ange et accepte un rendez-vous.
Cette conduite ne tarde pas à la compromettre, car le rendez-vous est surpris par un ci-devant jeune homme qui, se permettant sur elle les suppositions les plus hasardées, vient lui faire une de ces offres anodines qui sont de véritables outrages. Forcée de s’abriter sous le nom de son mari, la jeune imprudente ne cache plus son titre, tout se découvre et l’avantage reste à l’époux qui, après de sévères reproches, pardonne enfin à sa femme.
Cette pièce renferme de jolis couplets et deux ou trois scènes charmantes de dialogue, d’esprit et de finesse, mais un peu trop de longueurs; le dénouement surtout doit être plus serré. Aussi les noms aimés de MM.Labiche et Lefranc n’ont-ils pas été salués avec le même bonheur que de coutume. Si cette pièce parvient à décarêmer la caisse du théâtre — et nous l’espérons, — on le devra surtout à Mlle Nathalie, à Luguet et à Grassot qui se montrent ici comme partout, de véritables comédiens d’élite. H. Tassin »
Labiche, Eugène (1815-1888)Lefranc, Auguste - -
cop. 1846
Comédie en un acte, mêlée de couplets, représentée pour la première fois à Paris sur le Théâtre du Palais-Royal le 9 avril 1846.
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