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Auteur André Barsacq |
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L'Avant-Scène. Théâtre, 307. Un mois à la campagne / Ivan Tourgueniev
Titre de série : L'Avant-Scène. Théâtre, 307 Titre : Un mois à la campagne Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivan Tourgueniev, Auteur ; André Barsacq, Adaptateur Editeur : Paris [France] : L'Avant-scène Année de publication : 03/1964 Collection : L'avant-scène. Théâtre, ISSN 0045-1169 num. 307 Importance : p. 7-42 Note générale : Comédie en 5 actes Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, un seul individu survient et la vie bouillonne aux marges de l’entendement. Tout semblait calme dans cette campagne russe du XIXe siècle, maris, femmes, amants en routine réglée, quand un fougueux jeune homme vint perturber ce bel agencement : Alexeï, le précepteur venu de Moscou que Natalia Petrovna a engagé pour s’occuper du petit Kolia, va mettre le microcosme local à feu et à sang (chaud). Ancêtre du Théorème pasolinien tout comme inspiration du théâtre de Tchekhov, ce joyau de Tourgueniev, loué pour sa modernité et sa finesse psychologique, déplace aussi sur le plan des mœurs un geste déjà poussé par l’auteur dans sa critique du servage et des propriétaires telle qu’on la lit dans Mémoires d’un chasseur - et qui lui valut censure et emprisonnement. Car, par-delà les chassés-croisés amoureux, c’est l’ordre établi qui est aussi attaqué, et nul doute que Natalia, dans sa rivalité avec Vera, sa protégée orpheline, pour s’emparer du cœur du précepteur, exerce aussi une mainmise de classe. Nb de personnages : 13 Nb d'hommes : 8 Nb de femmes : 5 Durée : 2:00 modulable : Non Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=400 L'Avant-Scène. Théâtre, 307. Un mois à la campagne [texte imprimé] / Ivan Tourgueniev, Auteur ; André Barsacq, Adaptateur . - Paris [France] : L'Avant-scène, 03/1964 . - p. 7-42. - (L'avant-scène. Théâtre, ISSN 0045-1169; 307) .
Comédie en 5 actes
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, un seul individu survient et la vie bouillonne aux marges de l’entendement. Tout semblait calme dans cette campagne russe du XIXe siècle, maris, femmes, amants en routine réglée, quand un fougueux jeune homme vint perturber ce bel agencement : Alexeï, le précepteur venu de Moscou que Natalia Petrovna a engagé pour s’occuper du petit Kolia, va mettre le microcosme local à feu et à sang (chaud). Ancêtre du Théorème pasolinien tout comme inspiration du théâtre de Tchekhov, ce joyau de Tourgueniev, loué pour sa modernité et sa finesse psychologique, déplace aussi sur le plan des mœurs un geste déjà poussé par l’auteur dans sa critique du servage et des propriétaires telle qu’on la lit dans Mémoires d’un chasseur - et qui lui valut censure et emprisonnement. Car, par-delà les chassés-croisés amoureux, c’est l’ordre établi qui est aussi attaqué, et nul doute que Natalia, dans sa rivalité avec Vera, sa protégée orpheline, pour s’emparer du cœur du précepteur, exerce aussi une mainmise de classe. Nb de personnages : 13 Nb d'hommes : 8 Nb de femmes : 5 Durée : 2:00 modulable : Non Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=400
L'Avant-Scène. Théâtre, 307. Un mois à la campagne
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, un seul individu survient et la vie bouillonne aux marges de l’entendement. Tout semblait calme dans cette campagne russe du XIXe siècle, maris, femmes, amants en routine réglée, quand un fougueux jeune homme vint perturber ce bel agencement : Alexeï, le précepteur venu de Moscou que Natalia Petrovna a engagé pour s’occuper du petit Kolia, va mettre le microcosme local à feu et à sang (chaud). Ancêtre du Théorème pasolinien tout comme inspiration du théâtre de Tchekhov, ce joyau de Tourgueniev, loué pour sa modernité et sa finesse psychologique, déplace aussi sur le plan des mœurs un geste déjà poussé par l’auteur dans sa critique du servage et des propriétaires telle qu’on la lit dans Mémoires d’un chasseur - et qui lui valut censure et emprisonnement. Car, par-delà les chassés-croisés amoureux, c’est l’ordre établi qui est aussi attaqué, et nul doute que Natalia, dans sa rivalité avec Vera, sa protégée orpheline, pour s’emparer du cœur du précepteur, exerce aussi une mainmise de classe.
Tourgueniev, IvanBarsacq, André - - Paris (France) : L'Avant-scène - 03/1964
Comédie en 5 actes
L'Avant-Scène. Théâtre, 307. Un mois à la campagne
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, un seul individu survient et la vie bouillonne aux marges de l’entendement. Tout semblait calme dans cette campagne russe du XIXe siècle, maris, femmes, amants en routine réglée, quand un fougueux jeune homme vint perturber ce bel agencement : Alexeï, le précepteur venu de Moscou que Natalia Petrovna a engagé pour s’occuper du petit Kolia, va mettre le microcosme local à feu et à sang (chaud). Ancêtre du Théorème pasolinien tout comme inspiration du théâtre de Tchekhov, ce joyau de Tourgueniev, loué pour sa modernité et sa finesse psychologique, déplace aussi sur le plan des mœurs un geste déjà poussé par l’auteur dans sa critique du servage et des propriétaires telle qu’on la lit dans Mémoires d’un chasseur - et qui lui valut censure et emprisonnement. Car, par-delà les chassés-croisés amoureux, c’est l’ordre établi qui est aussi attaqué, et nul doute que Natalia, dans sa rivalité avec Vera, sa protégée orpheline, pour s’emparer du cœur du précepteur, exerce aussi une mainmise de classe.
Tourgueniev, IvanBarsacq, André - - Paris (France) : L'Avant-scène - 03/1964
Comédie en 5 actes
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190202 T AVT 307 Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt L'Avant-Scène. Théâtre, 447. La forêt / Alexandre Ostrovski
Titre de série : L'Avant-Scène. Théâtre, 447 Titre : La forêt Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Ostrovski, Auteur ; André Barsacq, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris [France] : L'Avant-scène Année de publication : 02/1970 Collection : L'avant-scène. Théâtre, ISSN 0045-1169 num. 447 Importance : 42 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Pourquoi y sommes-nous venus, dans cette forêt, ce bois profond et sans soleil ? pourquoi, vieux frère, avons-nous donc effrayé les hiboux et les chouettes ? pourquoi les avoir dérangés ? qu'ils vivent comme ça leur chante ! ici, tout est en ordre, vieux frère, comme ce doit l'être dans une forêt.
La forêt, une des pièces les plus importantes d'Ostrovski, a été publiée et jouée pour la première fois en 1871. Nous sommes en province, chez une riche veuve, Raïssa Pavlovna. Elle a recueilli une jeune fille, Aksiucha, à qui elle veut faire épouser, Aleksei, le fils d'une de ses amies, pauvre lui aussi. Mais Aksiucha aime Piotr, le fils d'un marchand des environs, avec qui Raïssa Pavlovna est en affaires. Arrive soudainement son neveu, à qui elle doit une part de son héritage, il s'est fait comédien, ce qu'il cache soigneusement à sa tante. Cette dernière se fait voler par le marchand à qui elle venait de vendre un morceau de forêt, mais son neveu récupère l'argent dû. Mais Raïssa Pavlovna dévoile ses batteries : elle s'est mise d'accord avec Aleksei pour se marier avec lui, malgré la différence d'âge, et elles s'apprête donc à chasser Aksiucha sans la doter, ce qui est la condition que met le père de Piotr pour autoriser le mariage des jeunes gens. Aksiucha, enceinte, au bord du désespoir, balance entre le suicide et un départ avec les comédiens. Mais son frère la sauve : il arrache sa part d'héritage à Raïssa Pavlovna, qui aurait bien aimé le garder, et en fait cadeau à Aksiucha, en repartant aussi pauvre qu'il est venu.Nb de personnages : 11 Nb d'hommes : 8 Nb de femmes : 3 Durée : 2:00 modulable : Non Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=512 L'Avant-Scène. Théâtre, 447. La forêt [texte imprimé] / Alexandre Ostrovski, Auteur ; André Barsacq, Metteur en scène, réalisateur . - Paris [France] : L'Avant-scène, 02/1970 . - 42 p. ; 27 cm. - (L'avant-scène. Théâtre, ISSN 0045-1169; 447) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Pourquoi y sommes-nous venus, dans cette forêt, ce bois profond et sans soleil ? pourquoi, vieux frère, avons-nous donc effrayé les hiboux et les chouettes ? pourquoi les avoir dérangés ? qu'ils vivent comme ça leur chante ! ici, tout est en ordre, vieux frère, comme ce doit l'être dans une forêt.
La forêt, une des pièces les plus importantes d'Ostrovski, a été publiée et jouée pour la première fois en 1871. Nous sommes en province, chez une riche veuve, Raïssa Pavlovna. Elle a recueilli une jeune fille, Aksiucha, à qui elle veut faire épouser, Aleksei, le fils d'une de ses amies, pauvre lui aussi. Mais Aksiucha aime Piotr, le fils d'un marchand des environs, avec qui Raïssa Pavlovna est en affaires. Arrive soudainement son neveu, à qui elle doit une part de son héritage, il s'est fait comédien, ce qu'il cache soigneusement à sa tante. Cette dernière se fait voler par le marchand à qui elle venait de vendre un morceau de forêt, mais son neveu récupère l'argent dû. Mais Raïssa Pavlovna dévoile ses batteries : elle s'est mise d'accord avec Aleksei pour se marier avec lui, malgré la différence d'âge, et elles s'apprête donc à chasser Aksiucha sans la doter, ce qui est la condition que met le père de Piotr pour autoriser le mariage des jeunes gens. Aksiucha, enceinte, au bord du désespoir, balance entre le suicide et un départ avec les comédiens. Mais son frère la sauve : il arrache sa part d'héritage à Raïssa Pavlovna, qui aurait bien aimé le garder, et en fait cadeau à Aksiucha, en repartant aussi pauvre qu'il est venu.Nb de personnages : 11 Nb d'hommes : 8 Nb de femmes : 3 Durée : 2:00 modulable : Non Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=512
L'Avant-Scène. Théâtre, 447. La forêt
Pourquoi y sommes-nous venus, dans cette forêt, ce bois profond et sans soleil ? pourquoi, vieux frère, avons-nous donc effrayé les hiboux et les chouettes ? pourquoi les avoir dérangés ? qu'ils vivent comme ça leur chante ! ici, tout est en ordre, vieux frère, comme ce doit l'être dans une forêt.
La forêt, une des pièces les plus importantes d'Ostrovski, a été publiée et jouée pour la première fois en 1871. Nous sommes en province, chez une riche veuve, Raïssa Pavlovna. Elle a recueilli une jeune fille, Aksiucha, à qui elle veut faire épouser, Aleksei, le fils d'une de ses amies, pauvre lui aussi. Mais Aksiucha aime Piotr, le fils d'un marchand des environs, avec qui Raïssa Pavlovna est en affaires. Arrive soudainement son neveu, à qui elle doit une part de son héritage, il s'est fait comédien, ce qu'il cache soigneusement à sa tante. Cette dernière se fait voler par le marchand à qui elle venait de vendre un morceau de forêt, mais son neveu récupère l'argent dû. Mais Raïssa Pavlovna dévoile ses batteries : elle s'est mise d'accord avec Aleksei pour se marier avec lui, malgré la différence d'âge, et elles s'apprête donc à chasser Aksiucha sans la doter, ce qui est la condition que met le père de Piotr pour autoriser le mariage des jeunes gens. Aksiucha, enceinte, au bord du désespoir, balance entre le suicide et un départ avec les comédiens. Mais son frère la sauve : il arrache sa part d'héritage à Raïssa Pavlovna, qui aurait bien aimé le garder, et en fait cadeau à Aksiucha, en repartant aussi pauvre qu'il est venu.Ostrovski, AlexandreBarsacq, André - - Paris (France) : L'Avant-scène - 02/1970
L'Avant-Scène. Théâtre, 447. La forêt
Pourquoi y sommes-nous venus, dans cette forêt, ce bois profond et sans soleil ? pourquoi, vieux frère, avons-nous donc effrayé les hiboux et les chouettes ? pourquoi les avoir dérangés ? qu'ils vivent comme ça leur chante ! ici, tout est en ordre, vieux frère, comme ce doit l'être dans une forêt.
La forêt, une des pièces les plus importantes d'Ostrovski, a été publiée et jouée pour la première fois en 1871. Nous sommes en province, chez une riche veuve, Raïssa Pavlovna. Elle a recueilli une jeune fille, Aksiucha, à qui elle veut faire épouser, Aleksei, le fils d'une de ses amies, pauvre lui aussi. Mais Aksiucha aime Piotr, le fils d'un marchand des environs, avec qui Raïssa Pavlovna est en affaires. Arrive soudainement son neveu, à qui elle doit une part de son héritage, il s'est fait comédien, ce qu'il cache soigneusement à sa tante. Cette dernière se fait voler par le marchand à qui elle venait de vendre un morceau de forêt, mais son neveu récupère l'argent dû. Mais Raïssa Pavlovna dévoile ses batteries : elle s'est mise d'accord avec Aleksei pour se marier avec lui, malgré la différence d'âge, et elles s'apprête donc à chasser Aksiucha sans la doter, ce qui est la condition que met le père de Piotr pour autoriser le mariage des jeunes gens. Aksiucha, enceinte, au bord du désespoir, balance entre le suicide et un départ avec les comédiens. Mais son frère la sauve : il arrache sa part d'héritage à Raïssa Pavlovna, qui aurait bien aimé le garder, et en fait cadeau à Aksiucha, en repartant aussi pauvre qu'il est venu.Ostrovski, AlexandreBarsacq, André - - Paris (France) : L'Avant-scène - 02/1970
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190295 T AVT 447 Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt L'enterrement / Henry Monnier
Titre : L'enterrement Type de document : texte imprimé Auteurs : Henry Monnier, Auteur ; André Barsacq, Metteur en scène, réalisateur Année de publication : 04/1970 Importance : p. 45-54 Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Monsieur Périnet est mort et tous ses amis sont invités à son enterrement. Les personnages se rendant à cet enterrement sont des caricatures de bourgeois du début du siècle, 1910-1915...
Ce sont toutes ces petites phrases que l'on peut dire quand nous sommes peu concernés par cet évènement... et le mystère de la mort tourné en dérision comme le dit ce personnage : "Ce qu’il y a de bien singulier, c’est que j’ai causé avec lui il n’y a pas de çà quinze jours ; il n’avait l’air de se douter de rien !..."
La mise en scène rappelle les films noir et blanc de cette époque où le visuel à une grande place.
Les personnages défilent sur des images en arrière-plan et toute la pièce nous ramène à ces histoires d'enterrement où nos grands-parents se retrouvaient pour boire un bon coup à la santé du défunt et faire un pied-de-nez à la mort... et même en rire !!!...Nb de personnages : 29 Nb d'hommes : 27 Nb de femmes : 2 Durée : 1:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=516 L'enterrement [texte imprimé] / Henry Monnier, Auteur ; André Barsacq, Metteur en scène, réalisateur . - 04/1970 . - p. 45-54.
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Monsieur Périnet est mort et tous ses amis sont invités à son enterrement. Les personnages se rendant à cet enterrement sont des caricatures de bourgeois du début du siècle, 1910-1915...
Ce sont toutes ces petites phrases que l'on peut dire quand nous sommes peu concernés par cet évènement... et le mystère de la mort tourné en dérision comme le dit ce personnage : "Ce qu’il y a de bien singulier, c’est que j’ai causé avec lui il n’y a pas de çà quinze jours ; il n’avait l’air de se douter de rien !..."
La mise en scène rappelle les films noir et blanc de cette époque où le visuel à une grande place.
Les personnages défilent sur des images en arrière-plan et toute la pièce nous ramène à ces histoires d'enterrement où nos grands-parents se retrouvaient pour boire un bon coup à la santé du défunt et faire un pied-de-nez à la mort... et même en rire !!!...Nb de personnages : 29 Nb d'hommes : 27 Nb de femmes : 2 Durée : 1:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=516
L'enterrement
Monsieur Périnet est mort et tous ses amis sont invités à son enterrement. Les personnages se rendant à cet enterrement sont des caricatures de bourgeois du début du siècle, 1910-1915...
Ce sont toutes ces petites phrases que l'on peut dire quand nous sommes peu concernés par cet évènement... et le mystère de la mort tourné en dérision comme le dit ce personnage : "Ce qu’il y a de bien singulier, c’est que j’ai causé avec lui il n’y a pas de çà quinze jours ; il n’avait l’air de se douter de rien !..."
La mise en scène rappelle les films noir et blanc de cette époque où le visuel à une grande place.
Les personnages défilent sur des images en arrière-plan et toute la pièce nous ramène à ces histoires d'enterrement où nos grands-parents se retrouvaient pour boire un bon coup à la santé du défunt et faire un pied-de-nez à la mort... et même en rire !!!...Monnier, HenryBarsacq, André - - 04/1970
L'enterrement
Monsieur Périnet est mort et tous ses amis sont invités à son enterrement. Les personnages se rendant à cet enterrement sont des caricatures de bourgeois du début du siècle, 1910-1915...
Ce sont toutes ces petites phrases que l'on peut dire quand nous sommes peu concernés par cet évènement... et le mystère de la mort tourné en dérision comme le dit ce personnage : "Ce qu’il y a de bien singulier, c’est que j’ai causé avec lui il n’y a pas de çà quinze jours ; il n’avait l’air de se douter de rien !..."
La mise en scène rappelle les films noir et blanc de cette époque où le visuel à une grande place.
Les personnages défilent sur des images en arrière-plan et toute la pièce nous ramène à ces histoires d'enterrement où nos grands-parents se retrouvaient pour boire un bon coup à la santé du défunt et faire un pied-de-nez à la mort... et même en rire !!!...Monnier, HenryBarsacq, André - - 04/1970
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire