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Titre : Ombres Type de document : texte imprimé Auteurs : André Praga, Auteur Année de publication : 1964 Importance : p. 40-43 Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 3 Nb de femmes : 1 Durée : 0:20 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=537 Ombres [texte imprimé] / André Praga, Auteur . - 1964 . - p. 40-43.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 3 Nb de femmes : 1 Durée : 0:20 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=537
Ombres
Praga, André - 1964
Ombres
Praga, André - 1964
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : On demande un ménage Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean de Létraz, Auteur Editeur : Paris [France] : Librairie Théâtrale Année de publication : 1978 Importance : 1 vol. (124 p.) ; 18 cm Note générale : Comédie en trois actes, créée au théâtre du Palais-Royal de Paris le 22 octobre 1942 Langues : Français (fre) Catégories : Boulevard
ComédieIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Deux amis intimes Jacques, un décorateur et Pierre, un futur banquier, ont été démobilisés ensemble. Mais ils sont jeunes et sans aucune situation. Ils prennent pension chez une certaine Sabine Robinet, parisienne sur le retour, qui s'est retirée à la campagne. Ils n'ont pas de quoi payer leurs notes et ne veulent pas abuser plus longtemps de la générosité un peu sentimentale de leur logeuse. Impossible, hélas, de trouver une solution. Ils lisent dans les journaux une offre de travail : "On demande un ménage... Un jardinier et une cuisinière". Ils n'ont plus qu'une ressource : Jouer à l'écarté pour savoir lequel se déguisera en femme pour devenir cuisinière. Le malheureux Jacques perd la partie. Il devra pendant des mois faire la cuisine, la vaisselle, le ménage, chez un monsieur qui, ruiné, essaie d'exploiter un domaine à la campagne. Pierre tombera amoureux de la fille du patron. Colette, presque fiancée à un prétendant fortuné mais assez stupide. Quant à Jacques, qui porte robe et jupon, il aura la suprême humiliation de voir surgir une ravissante et coquette modiste avec laquelle il comptait faire sa vie.
Cette situation engendre une exceptionnelle série de rebondissements d'un comique irrésistibleNb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 Durée : 2:20 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=266 On demande un ménage [texte imprimé] / Jean de Létraz, Auteur . - Paris [France] : Librairie Théâtrale, 1978 . - 1 vol. (124 p.) ; 18 cm.
Comédie en trois actes, créée au théâtre du Palais-Royal de Paris le 22 octobre 1942
Langues : Français (fre)
Catégories : Boulevard
ComédieIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Deux amis intimes Jacques, un décorateur et Pierre, un futur banquier, ont été démobilisés ensemble. Mais ils sont jeunes et sans aucune situation. Ils prennent pension chez une certaine Sabine Robinet, parisienne sur le retour, qui s'est retirée à la campagne. Ils n'ont pas de quoi payer leurs notes et ne veulent pas abuser plus longtemps de la générosité un peu sentimentale de leur logeuse. Impossible, hélas, de trouver une solution. Ils lisent dans les journaux une offre de travail : "On demande un ménage... Un jardinier et une cuisinière". Ils n'ont plus qu'une ressource : Jouer à l'écarté pour savoir lequel se déguisera en femme pour devenir cuisinière. Le malheureux Jacques perd la partie. Il devra pendant des mois faire la cuisine, la vaisselle, le ménage, chez un monsieur qui, ruiné, essaie d'exploiter un domaine à la campagne. Pierre tombera amoureux de la fille du patron. Colette, presque fiancée à un prétendant fortuné mais assez stupide. Quant à Jacques, qui porte robe et jupon, il aura la suprême humiliation de voir surgir une ravissante et coquette modiste avec laquelle il comptait faire sa vie.
Cette situation engendre une exceptionnelle série de rebondissements d'un comique irrésistibleNb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 Durée : 2:20 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=266
On demande un ménage
Deux amis intimes Jacques, un décorateur et Pierre, un futur banquier, ont été démobilisés ensemble. Mais ils sont jeunes et sans aucune situation. Ils prennent pension chez une certaine Sabine Robinet, parisienne sur le retour, qui s'est retirée à la campagne. Ils n'ont pas de quoi payer leurs notes et ne veulent pas abuser plus longtemps de la générosité un peu sentimentale de leur logeuse. Impossible, hélas, de trouver une solution. Ils lisent dans les journaux une offre de travail : "On demande un ménage... Un jardinier et une cuisinière". Ils n'ont plus qu'une ressource : Jouer à l'écarté pour savoir lequel se déguisera en femme pour devenir cuisinière. Le malheureux Jacques perd la partie. Il devra pendant des mois faire la cuisine, la vaisselle, le ménage, chez un monsieur qui, ruiné, essaie d'exploiter un domaine à la campagne. Pierre tombera amoureux de la fille du patron. Colette, presque fiancée à un prétendant fortuné mais assez stupide. Quant à Jacques, qui porte robe et jupon, il aura la suprême humiliation de voir surgir une ravissante et coquette modiste avec laquelle il comptait faire sa vie.
Cette situation engendre une exceptionnelle série de rebondissements d'un comique irrésistibleLétraz, Jean de - Paris (France) : Librairie Théâtrale - 1978
Comédie en trois actes, créée au théâtre du Palais-Royal de Paris le 22 octobre 1942
On demande un ménage
Deux amis intimes Jacques, un décorateur et Pierre, un futur banquier, ont été démobilisés ensemble. Mais ils sont jeunes et sans aucune situation. Ils prennent pension chez une certaine Sabine Robinet, parisienne sur le retour, qui s'est retirée à la campagne. Ils n'ont pas de quoi payer leurs notes et ne veulent pas abuser plus longtemps de la générosité un peu sentimentale de leur logeuse. Impossible, hélas, de trouver une solution. Ils lisent dans les journaux une offre de travail : "On demande un ménage... Un jardinier et une cuisinière". Ils n'ont plus qu'une ressource : Jouer à l'écarté pour savoir lequel se déguisera en femme pour devenir cuisinière. Le malheureux Jacques perd la partie. Il devra pendant des mois faire la cuisine, la vaisselle, le ménage, chez un monsieur qui, ruiné, essaie d'exploiter un domaine à la campagne. Pierre tombera amoureux de la fille du patron. Colette, presque fiancée à un prétendant fortuné mais assez stupide. Quant à Jacques, qui porte robe et jupon, il aura la suprême humiliation de voir surgir une ravissante et coquette modiste avec laquelle il comptait faire sa vie.
Cette situation engendre une exceptionnelle série de rebondissements d'un comique irrésistibleLétraz, Jean de - Paris (France) : Librairie Théâtrale - 1978
Comédie en trois actes, créée au théâtre du Palais-Royal de Paris le 22 octobre 1942
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190051 T LET Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt
Titre : On loge la nuit - Café à l'eau Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Ribes, Auteur Année de publication : 1975 Importance : p. 39-57 Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Itinéraire autour de Gérard de Nerval Nb de personnages : 17 Nb d'hommes : 10 Nb de femmes : 7 Durée : 1:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=507 On loge la nuit - Café à l'eau [texte imprimé] / Jean-Michel Ribes, Auteur . - 1975 . - p. 39-57.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Itinéraire autour de Gérard de Nerval Nb de personnages : 17 Nb d'hommes : 10 Nb de femmes : 7 Durée : 1:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=507
On loge la nuit - Café à l'eau
Itinéraire autour de Gérard de Nerval
Ribes, Jean-Michel - 1975
On loge la nuit - Café à l'eau
Itinéraire autour de Gérard de Nerval
Ribes, Jean-Michel - 1975
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Editeur : Larousse Année de publication : 1992 Collection : Classiques Importance : 1 vol. (160 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-871344-2 Note générale : Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française. Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153 Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - Larousse, 1992 . - 1 vol. (160 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm. - (Classiques) .
ISBN : 978-2-03-871344-2
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153 Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - France : Larousse - 1992
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - France : Larousse - 1992
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190064 T MUS Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt
Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Editeur : Paris [France] : Flammarion Année de publication : 1997 Collection : G.F., ISSN 0768-0465 num. 907 Importance : 1 vol. (157 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-070907-3 Note générale : Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française. Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Bibliogr. p. [156]-157 Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=98 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - Paris [France] : Flammarion, 1997 . - 1 vol. (157 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (G.F., ISSN 0768-0465; 907) .
ISBN : 978-2-08-070907-3
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Bibliogr. p. [156]-157 Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=98
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - Paris (France) : Flammarion - 1997
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Bibliogr. p. [156]-157
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - Paris (France) : Flammarion - 1997
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Bibliogr. p. [156]-157
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190177 T MUS Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt PermalinkOn ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée / Alfred de Musset
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