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La bonne planque / Michel André
Titre : La bonne planque Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel André, Auteur Editeur : Paris [France] : Librairie Théâtrale Année de publication : 1963 Importance : 1 vol. (93 p.) ; 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7349-0006-1 Note générale : Comédie en 3 actes Langues : Français (fre) Catégories : Boulevard
ComédieIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Émile et Fredo sont deux truands qui viennent de commettre un vol à main armée dans une banque parisienne. Pour échapper à la police, Émile, accompagné de son amie Lulu, se réfugie dans l'appartement d'un paisible fonctionnaire du ministère de l'Agriculture. « Je me suis renseigné, c'est un cornichon ! » dit Émile.
Le cornichon en question n'est autre qu'Antoine Perrin, fonctionnaire au ministère de l'Agriculture et musicien amateur du groupe Les Joyeux Colibris. Afin d'éviter que le maître des lieux ne reçoive « un coup sur la cafetière », Lulu se propose de le séduire. Elle est ensuite contrainte de s'incruster chez lui, car l'immeuble est surveillé et il est impossible d'en sortir avec le butin… Elle en devient finalement amoureuse. Entretemps, s'interpose la maîtresse d'Antoine, Fernande, une virago qui n'est autre que la femme de son meilleur ami, l'inspecteur de police Péquinet.Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 5 Nb de femmes : 2 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82 La bonne planque [texte imprimé] / Michel André, Auteur . - Paris [France] : Librairie Théâtrale, 1963 . - 1 vol. (93 p.) ; 17 cm.
ISBN : 978-2-7349-0006-1
Comédie en 3 actes
Langues : Français (fre)
Catégories : Boulevard
ComédieIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Émile et Fredo sont deux truands qui viennent de commettre un vol à main armée dans une banque parisienne. Pour échapper à la police, Émile, accompagné de son amie Lulu, se réfugie dans l'appartement d'un paisible fonctionnaire du ministère de l'Agriculture. « Je me suis renseigné, c'est un cornichon ! » dit Émile.
Le cornichon en question n'est autre qu'Antoine Perrin, fonctionnaire au ministère de l'Agriculture et musicien amateur du groupe Les Joyeux Colibris. Afin d'éviter que le maître des lieux ne reçoive « un coup sur la cafetière », Lulu se propose de le séduire. Elle est ensuite contrainte de s'incruster chez lui, car l'immeuble est surveillé et il est impossible d'en sortir avec le butin… Elle en devient finalement amoureuse. Entretemps, s'interpose la maîtresse d'Antoine, Fernande, une virago qui n'est autre que la femme de son meilleur ami, l'inspecteur de police Péquinet.Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 5 Nb de femmes : 2 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82
La bonne planque
Émile et Fredo sont deux truands qui viennent de commettre un vol à main armée dans une banque parisienne. Pour échapper à la police, Émile, accompagné de son amie Lulu, se réfugie dans l'appartement d'un paisible fonctionnaire du ministère de l'Agriculture. « Je me suis renseigné, c'est un cornichon ! » dit Émile.
Le cornichon en question n'est autre qu'Antoine Perrin, fonctionnaire au ministère de l'Agriculture et musicien amateur du groupe Les Joyeux Colibris. Afin d'éviter que le maître des lieux ne reçoive « un coup sur la cafetière », Lulu se propose de le séduire. Elle est ensuite contrainte de s'incruster chez lui, car l'immeuble est surveillé et il est impossible d'en sortir avec le butin… Elle en devient finalement amoureuse. Entretemps, s'interpose la maîtresse d'Antoine, Fernande, une virago qui n'est autre que la femme de son meilleur ami, l'inspecteur de police Péquinet.André, Michel - Paris (France) : Librairie Théâtrale - 1963
Comédie en 3 actes
La bonne planque
Émile et Fredo sont deux truands qui viennent de commettre un vol à main armée dans une banque parisienne. Pour échapper à la police, Émile, accompagné de son amie Lulu, se réfugie dans l'appartement d'un paisible fonctionnaire du ministère de l'Agriculture. « Je me suis renseigné, c'est un cornichon ! » dit Émile.
Le cornichon en question n'est autre qu'Antoine Perrin, fonctionnaire au ministère de l'Agriculture et musicien amateur du groupe Les Joyeux Colibris. Afin d'éviter que le maître des lieux ne reçoive « un coup sur la cafetière », Lulu se propose de le séduire. Elle est ensuite contrainte de s'incruster chez lui, car l'immeuble est surveillé et il est impossible d'en sortir avec le butin… Elle en devient finalement amoureuse. Entretemps, s'interpose la maîtresse d'Antoine, Fernande, une virago qui n'est autre que la femme de son meilleur ami, l'inspecteur de police Péquinet.André, Michel - Paris (France) : Librairie Théâtrale - 1963
Comédie en 3 actes
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190180 T AND Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Les bonnes / Jean Genet
Titre : Les bonnes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Genet, Auteur Année de publication : 1947 Importance : 1 vol. ([s.p.]) ; 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : Comédie
TragédieIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Les deux bonnes sont Claire (la petite sœur, qui semble plus révoltée, excitée à l'idée de dominer son aînée dans le rôle de meurtrière) et Solange (l'aînée, qui paraît plus réservée, inquiète sur le comportement révolté de sa sœur, bien qu'elle y participe activement). Elles travaillent pour une femme riche appartenant à la haute bourgeoisie (Madame) avec laquelle elles entretiennent une relation assez floue. Les deux bonnes s’habillent même avec les robes de leur maîtresse, lors de scènes (ne pas entendre des scènes dans le sens classique du terme) où les personnages mélangent leurs rôles. Un peu plus tôt, Claire (entendez l’action conjuguée Claire-Solange) avait rédigé une fausse lettre de dénonciation afin de faire emprisonner l'amant de Madame (nommé Monsieur; il faut néanmoins préciser que Monsieur est libéré, et qu'il donne rendez-vous à Madame). Les deux sœurs tentent alors d’empoisonner Madame en lui faisant boire du tilleul, pour éviter de se faire démasquer, mais elle ne le boira finalement pas, malgré l'insistance de Claire. Lors de la scène finale, Claire joue le rôle de Madame, et boit le tilleul empoisonné, mourant réellement, mais assassinant ainsi symboliquement sa maîtresse, après leur échec. En ce sens, la pièce exprime un malaise identitaire : Claire et Solange se sentent emprisonnées et réduites à leur condition sociale. Le malaise tient aussi du fait que Solange et Claire se confondent continuellement; l'une incarnant la raison (Solange) et l'autre la passion (Claire). On a donc une parodie de tragédie classique; avec un héros tragique (Claire/Solange) et un dilemme (tuer Madame, ou un dilemme intrinsèque qui repose sur la volonté de se découvrir, départ à la recherche de soi-même). Nb de personnages : 3 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=390 Les bonnes [texte imprimé] / Jean Genet, Auteur . - 1947 . - 1 vol. ([s.p.]) ; 21 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie
TragédieIndex. décimale : T Théâtre Résumé : Les deux bonnes sont Claire (la petite sœur, qui semble plus révoltée, excitée à l'idée de dominer son aînée dans le rôle de meurtrière) et Solange (l'aînée, qui paraît plus réservée, inquiète sur le comportement révolté de sa sœur, bien qu'elle y participe activement). Elles travaillent pour une femme riche appartenant à la haute bourgeoisie (Madame) avec laquelle elles entretiennent une relation assez floue. Les deux bonnes s’habillent même avec les robes de leur maîtresse, lors de scènes (ne pas entendre des scènes dans le sens classique du terme) où les personnages mélangent leurs rôles. Un peu plus tôt, Claire (entendez l’action conjuguée Claire-Solange) avait rédigé une fausse lettre de dénonciation afin de faire emprisonner l'amant de Madame (nommé Monsieur; il faut néanmoins préciser que Monsieur est libéré, et qu'il donne rendez-vous à Madame). Les deux sœurs tentent alors d’empoisonner Madame en lui faisant boire du tilleul, pour éviter de se faire démasquer, mais elle ne le boira finalement pas, malgré l'insistance de Claire. Lors de la scène finale, Claire joue le rôle de Madame, et boit le tilleul empoisonné, mourant réellement, mais assassinant ainsi symboliquement sa maîtresse, après leur échec. En ce sens, la pièce exprime un malaise identitaire : Claire et Solange se sentent emprisonnées et réduites à leur condition sociale. Le malaise tient aussi du fait que Solange et Claire se confondent continuellement; l'une incarnant la raison (Solange) et l'autre la passion (Claire). On a donc une parodie de tragédie classique; avec un héros tragique (Claire/Solange) et un dilemme (tuer Madame, ou un dilemme intrinsèque qui repose sur la volonté de se découvrir, départ à la recherche de soi-même). Nb de personnages : 3 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=390
Les bonnes
Les deux bonnes sont Claire (la petite sœur, qui semble plus révoltée, excitée à l'idée de dominer son aînée dans le rôle de meurtrière) et Solange (l'aînée, qui paraît plus réservée, inquiète sur le comportement révolté de sa sœur, bien qu'elle y participe activement). Elles travaillent pour une femme riche appartenant à la haute bourgeoisie (Madame) avec laquelle elles entretiennent une relation assez floue. Les deux bonnes s’habillent même avec les robes de leur maîtresse, lors de scènes (ne pas entendre des scènes dans le sens classique du terme) où les personnages mélangent leurs rôles. Un peu plus tôt, Claire (entendez l’action conjuguée Claire-Solange) avait rédigé une fausse lettre de dénonciation afin de faire emprisonner l'amant de Madame (nommé Monsieur; il faut néanmoins préciser que Monsieur est libéré, et qu'il donne rendez-vous à Madame). Les deux sœurs tentent alors d’empoisonner Madame en lui faisant boire du tilleul, pour éviter de se faire démasquer, mais elle ne le boira finalement pas, malgré l'insistance de Claire. Lors de la scène finale, Claire joue le rôle de Madame, et boit le tilleul empoisonné, mourant réellement, mais assassinant ainsi symboliquement sa maîtresse, après leur échec. En ce sens, la pièce exprime un malaise identitaire : Claire et Solange se sentent emprisonnées et réduites à leur condition sociale. Le malaise tient aussi du fait que Solange et Claire se confondent continuellement; l'une incarnant la raison (Solange) et l'autre la passion (Claire). On a donc une parodie de tragédie classique; avec un héros tragique (Claire/Solange) et un dilemme (tuer Madame, ou un dilemme intrinsèque qui repose sur la volonté de se découvrir, départ à la recherche de soi-même).
Genet, Jean - 1947
Les bonnes
Les deux bonnes sont Claire (la petite sœur, qui semble plus révoltée, excitée à l'idée de dominer son aînée dans le rôle de meurtrière) et Solange (l'aînée, qui paraît plus réservée, inquiète sur le comportement révolté de sa sœur, bien qu'elle y participe activement). Elles travaillent pour une femme riche appartenant à la haute bourgeoisie (Madame) avec laquelle elles entretiennent une relation assez floue. Les deux bonnes s’habillent même avec les robes de leur maîtresse, lors de scènes (ne pas entendre des scènes dans le sens classique du terme) où les personnages mélangent leurs rôles. Un peu plus tôt, Claire (entendez l’action conjuguée Claire-Solange) avait rédigé une fausse lettre de dénonciation afin de faire emprisonner l'amant de Madame (nommé Monsieur; il faut néanmoins préciser que Monsieur est libéré, et qu'il donne rendez-vous à Madame). Les deux sœurs tentent alors d’empoisonner Madame en lui faisant boire du tilleul, pour éviter de se faire démasquer, mais elle ne le boira finalement pas, malgré l'insistance de Claire. Lors de la scène finale, Claire joue le rôle de Madame, et boit le tilleul empoisonné, mourant réellement, mais assassinant ainsi symboliquement sa maîtresse, après leur échec. En ce sens, la pièce exprime un malaise identitaire : Claire et Solange se sentent emprisonnées et réduites à leur condition sociale. Le malaise tient aussi du fait que Solange et Claire se confondent continuellement; l'une incarnant la raison (Solange) et l'autre la passion (Claire). On a donc une parodie de tragédie classique; avec un héros tragique (Claire/Solange) et un dilemme (tuer Madame, ou un dilemme intrinsèque qui repose sur la volonté de se découvrir, départ à la recherche de soi-même).
Genet, Jean - 1947
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190139 T GEN Photocopie ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Les Boulingrin / Georges Courteline
Titre : Les Boulingrin Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Courteline (1858-1929), Auteur Importance : p. 58-84 Note générale : Vaudeville en un acte, créé le 7 février 1898 au Théâtre du Grand-Guignol. Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Des Rillettes, un pique-assiette, essaie de s’immiscer chez Les Boulingrin. Il pense pouvoir passer d’agréables moments chez eux bien au chaud pendant une bonne partie de l’hiver, mais il se retrouve au centre d’une scène de ménage et devient un prétexte de chamaillerie supplémentaire, le couple le prenant pour arbitre. La scène bascule jusqu’à devenir absurde : les meubles de cet intérieur bourgeois typique sont brisés, les insultes et les cris fusent, des coups de revolver partent. La scène s’achève par un incendie. Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 2 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=90 Les Boulingrin [texte imprimé] / Georges Courteline (1858-1929), Auteur . - [s.d.] . - p. 58-84.
Vaudeville en un acte, créé le 7 février 1898 au Théâtre du Grand-Guignol.
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Des Rillettes, un pique-assiette, essaie de s’immiscer chez Les Boulingrin. Il pense pouvoir passer d’agréables moments chez eux bien au chaud pendant une bonne partie de l’hiver, mais il se retrouve au centre d’une scène de ménage et devient un prétexte de chamaillerie supplémentaire, le couple le prenant pour arbitre. La scène bascule jusqu’à devenir absurde : les meubles de cet intérieur bourgeois typique sont brisés, les insultes et les cris fusent, des coups de revolver partent. La scène s’achève par un incendie. Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 2 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=90
Les Boulingrin
Des Rillettes, un pique-assiette, essaie de s’immiscer chez Les Boulingrin. Il pense pouvoir passer d’agréables moments chez eux bien au chaud pendant une bonne partie de l’hiver, mais il se retrouve au centre d’une scène de ménage et devient un prétexte de chamaillerie supplémentaire, le couple le prenant pour arbitre. La scène bascule jusqu’à devenir absurde : les meubles de cet intérieur bourgeois typique sont brisés, les insultes et les cris fusent, des coups de revolver partent. La scène s’achève par un incendie.
Courteline, Georges (1858-1929) -
Vaudeville en un acte, créé le 7 février 1898 au Théâtre du Grand-Guignol.
Les Boulingrin
Des Rillettes, un pique-assiette, essaie de s’immiscer chez Les Boulingrin. Il pense pouvoir passer d’agréables moments chez eux bien au chaud pendant une bonne partie de l’hiver, mais il se retrouve au centre d’une scène de ménage et devient un prétexte de chamaillerie supplémentaire, le couple le prenant pour arbitre. La scène bascule jusqu’à devenir absurde : les meubles de cet intérieur bourgeois typique sont brisés, les insultes et les cris fusent, des coups de revolver partent. La scène s’achève par un incendie.
Courteline, Georges (1858-1929) -
Vaudeville en un acte, créé le 7 février 1898 au Théâtre du Grand-Guignol.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le bourricot / Pierre Gripari
Titre : Le bourricot Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Gripari (1925-1990), Auteur Importance : p. 8-30 Note générale : Scène à trois. Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Lui est un paysan petit et agressif. Elle est une paysanne assez grande et placide.
Elle et Lui se disputent vivement car Lui a décidé de la vendre sur le marché aux bestiaux, ce qu'elle refuse catégoriquement. Il avance les arguments suivants : il est son mari, donc elle doit lui obéir ; il est l'homme, donc c'est lui qui décide. Elle lui rétorque qu'elle l'aime. « Raison de plus. Si tu m'aimes, tu dois être contente de me rapporter de l'argent » (p. 13), lui répond-il. Il la menace alors d'un bâton et elle cède. Il poursuit en expliquant qu'ils sont pauvres, qu'ils n'ont plus rien à manger et qu'il est donc obligé de la vendre, mais comme bourricot (petit âne), parce que « comme femme, t'es trop moche » ajoute-t-il. Elle lui fait remarquer qu'elle ne ressemble pas à un bourricot, mais il prétend qu'il sait comment faire.
Lui commence alors à vanter à la cantonade les mérites de l'animal qu'il vend : celui-ci est solide et sensible aux coups de bâton en cas de besoin. Un paysan s'approche, très étonné quand il découvre qu'Elle est le bourricot en question. Il semble convaincu quand la femme confirme qu'elle est bien un âne. »Nb de personnages : 3 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 1 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=110 Le bourricot [texte imprimé] / Pierre Gripari (1925-1990), Auteur . - [s.d.] . - p. 8-30.
Scène à trois.
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Lui est un paysan petit et agressif. Elle est une paysanne assez grande et placide.
Elle et Lui se disputent vivement car Lui a décidé de la vendre sur le marché aux bestiaux, ce qu'elle refuse catégoriquement. Il avance les arguments suivants : il est son mari, donc elle doit lui obéir ; il est l'homme, donc c'est lui qui décide. Elle lui rétorque qu'elle l'aime. « Raison de plus. Si tu m'aimes, tu dois être contente de me rapporter de l'argent » (p. 13), lui répond-il. Il la menace alors d'un bâton et elle cède. Il poursuit en expliquant qu'ils sont pauvres, qu'ils n'ont plus rien à manger et qu'il est donc obligé de la vendre, mais comme bourricot (petit âne), parce que « comme femme, t'es trop moche » ajoute-t-il. Elle lui fait remarquer qu'elle ne ressemble pas à un bourricot, mais il prétend qu'il sait comment faire.
Lui commence alors à vanter à la cantonade les mérites de l'animal qu'il vend : celui-ci est solide et sensible aux coups de bâton en cas de besoin. Un paysan s'approche, très étonné quand il découvre qu'Elle est le bourricot en question. Il semble convaincu quand la femme confirme qu'elle est bien un âne. »Nb de personnages : 3 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 1 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=110
Le bourricot
Lui est un paysan petit et agressif. Elle est une paysanne assez grande et placide.
Elle et Lui se disputent vivement car Lui a décidé de la vendre sur le marché aux bestiaux, ce qu'elle refuse catégoriquement. Il avance les arguments suivants : il est son mari, donc elle doit lui obéir ; il est l'homme, donc c'est lui qui décide. Elle lui rétorque qu'elle l'aime. « Raison de plus. Si tu m'aimes, tu dois être contente de me rapporter de l'argent » (p. 13), lui répond-il. Il la menace alors d'un bâton et elle cède. Il poursuit en expliquant qu'ils sont pauvres, qu'ils n'ont plus rien à manger et qu'il est donc obligé de la vendre, mais comme bourricot (petit âne), parce que « comme femme, t'es trop moche » ajoute-t-il. Elle lui fait remarquer qu'elle ne ressemble pas à un bourricot, mais il prétend qu'il sait comment faire.
Lui commence alors à vanter à la cantonade les mérites de l'animal qu'il vend : celui-ci est solide et sensible aux coups de bâton en cas de besoin. Un paysan s'approche, très étonné quand il découvre qu'Elle est le bourricot en question. Il semble convaincu quand la femme confirme qu'elle est bien un âne. »Gripari, Pierre (1925-1990) -
Scène à trois.
Le bourricot
Lui est un paysan petit et agressif. Elle est une paysanne assez grande et placide.
Elle et Lui se disputent vivement car Lui a décidé de la vendre sur le marché aux bestiaux, ce qu'elle refuse catégoriquement. Il avance les arguments suivants : il est son mari, donc elle doit lui obéir ; il est l'homme, donc c'est lui qui décide. Elle lui rétorque qu'elle l'aime. « Raison de plus. Si tu m'aimes, tu dois être contente de me rapporter de l'argent » (p. 13), lui répond-il. Il la menace alors d'un bâton et elle cède. Il poursuit en expliquant qu'ils sont pauvres, qu'ils n'ont plus rien à manger et qu'il est donc obligé de la vendre, mais comme bourricot (petit âne), parce que « comme femme, t'es trop moche » ajoute-t-il. Elle lui fait remarquer qu'elle ne ressemble pas à un bourricot, mais il prétend qu'il sait comment faire.
Lui commence alors à vanter à la cantonade les mérites de l'animal qu'il vend : celui-ci est solide et sensible aux coups de bâton en cas de besoin. Un paysan s'approche, très étonné quand il découvre qu'Elle est le bourricot en question. Il semble convaincu quand la femme confirme qu'elle est bien un âne. »Gripari, Pierre (1925-1990) -
Scène à trois.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La cage aux folles / Jean Poiret
Titre : La cage aux folles Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Poiret, Auteur Editeur : Année de publication : 1979 Collection : Presses Pocket ISBN/ISSN/EAN : 978-2-266-00714-6 Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Georges et son compagnon Albin sont les tenanciers du night-club " La Cage aux folles ". Entre petites disputes et grandes réconciliations, leur quotidien est rythmé par les aléas des spectacles et des caprices des travestis. Mais quand Laurent, le fils de Georges, décide d'épouser Muriel Dieulafoi, la fille d'une famille bourgeoise bien rangée, c'est toute la maisonnée qui se retrouve sens dessus dessous. Il va falloir apprendre à faire bonne figure devant les parents de la future mariée en bridant les habitudes et les attitudes trop équivoques... Nb de personnages : 14 Nb d'hommes : 9 Nb de femmes : 5 Durée : 2:15 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=175 La cage aux folles [texte imprimé] / Jean Poiret, Auteur . - Pocket, 1979. - (Presses Pocket) .
ISBN : 978-2-266-00714-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Georges et son compagnon Albin sont les tenanciers du night-club " La Cage aux folles ". Entre petites disputes et grandes réconciliations, leur quotidien est rythmé par les aléas des spectacles et des caprices des travestis. Mais quand Laurent, le fils de Georges, décide d'épouser Muriel Dieulafoi, la fille d'une famille bourgeoise bien rangée, c'est toute la maisonnée qui se retrouve sens dessus dessous. Il va falloir apprendre à faire bonne figure devant les parents de la future mariée en bridant les habitudes et les attitudes trop équivoques... Nb de personnages : 14 Nb d'hommes : 9 Nb de femmes : 5 Durée : 2:15 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=175
La cage aux folles
Georges et son compagnon Albin sont les tenanciers du night-club " La Cage aux folles ". Entre petites disputes et grandes réconciliations, leur quotidien est rythmé par les aléas des spectacles et des caprices des travestis. Mais quand Laurent, le fils de Georges, décide d'épouser Muriel Dieulafoi, la fille d'une famille bourgeoise bien rangée, c'est toute la maisonnée qui se retrouve sens dessus dessous. Il va falloir apprendre à faire bonne figure devant les parents de la future mariée en bridant les habitudes et les attitudes trop équivoques...
Poiret, Jean - France : Pocket - 1979
La cage aux folles
Georges et son compagnon Albin sont les tenanciers du night-club " La Cage aux folles ". Entre petites disputes et grandes réconciliations, leur quotidien est rythmé par les aléas des spectacles et des caprices des travestis. Mais quand Laurent, le fils de Georges, décide d'épouser Muriel Dieulafoi, la fille d'une famille bourgeoise bien rangée, c'est toute la maisonnée qui se retrouve sens dessus dessous. Il va falloir apprendre à faire bonne figure devant les parents de la future mariée en bridant les habitudes et les attitudes trop équivoques...
Poiret, Jean - France : Pocket - 1979
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Vanessa01 T POI Livre Vanessa Théâtre Exclu du prêt Le Canard à l'orange / William Douglas HomePermalinkUn caprice / Alfred de MussetPermalinkPermalinkCe qui est dit est dit... / Aldo NicolaïPermalinkCeux d'en face / Jean-Luc AnnaixPermalinkUne chaîne anglaise / Eugène LabichePermalinkUn chapeau de paille d'Italie / Eugène LabichePermalinkCharmante soirée / Jacques DevalPermalinkLa chasse aux corbeaux / Eugène LabichePermalinkPermalink