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Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Editeur : Larousse Année de publication : 1992 Collection : Classiques Importance : 1 vol. (160 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-871344-2 Note générale : Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française. Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153 Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - Larousse, 1992 . - 1 vol. (160 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm. - (Classiques) .
ISBN : 978-2-03-871344-2
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Note de contenu : Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153 Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 En ligne : http://alj-theatre-pluch.fr/23-on-ne-badine-pas-avec-lamour/ Format de la ressource électronique : Jouée par le Théâtre Pluch' en 1999-2000 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - France : Larousse - 1992
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - France : Larousse - 1992
Proverbe en 3 actes, représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Contient un choix de documents. - Bibliogr. p. 153
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190064 T MUS Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt On ne badine pas avec l'amour / Alfred de Musset
in On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée / Alfred de Musset
Titre : On ne badine pas avec l'amour Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Année de publication : 1964 Importance : p. 36-90 Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=229 On ne badine pas avec l'amour [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - 1964 . - p. 36-90.
in On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée / Alfred de Musset
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Nb de personnages : 7 Nb d'hommes : 4 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=229
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - 1964
On ne badine pas avec l'amour
La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son cousin de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.
Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, éduquée très strictement par les sœurs du couvent, toutes victimes d'amours malheureuses, a appris à ne pas avoir confiance en les hommes. Elle a donc pris la décision d’y retourner et de vouer sa vie à Dieu.
Camille continue malgré tout de cacher ses sentiments pour Perdican, par pur orgueil. Elle envoie donc une lettre à Louise, une religieuse de son couvent qui l'a fortement influencée par l'exemple de ses propres malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage.
Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène.
Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Camille et Perdican s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte. Adieu, Perdican. », conclut Camille2.Musset, Alfred de (1810-1857) - 1964
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée / Alfred de Musset
Titre : On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfred de Musset (1810-1857), Auteur Editeur : Paris [France] : Bordas Année de publication : 1964 Importance : 1 vol. (127 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=228 On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée [texte imprimé] / Alfred de Musset (1810-1857), Auteur . - Paris [France] : Bordas, 1964 . - 1 vol. (127 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=228
On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée
Musset, Alfred de (1810-1857) - Paris (France) : Bordas - 1964
On ne badine pas avec l'amour. [suivi de] Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée
Musset, Alfred de (1810-1857) - Paris (France) : Bordas - 1964
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190085 T MUS Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Paris-Théâtre, 109. La machine à écrire / Jean Cocteau
Titre de série : Paris-Théâtre, 109 Titre : La machine à écrire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Cocteau, Auteur ; Jean Meyer, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : J.-P. Mauclaire Année de publication : 1956 Collection : Paris Théâtre num. 109 Importance : p. 21-54 Format : 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Toute une ville affolée, exaspérée par des mystérieuses lettres s'abattant sur chaque famille, où les tares secrètes des uns et des autres étaient mises à nu, dénoncées, menacées de révélation publique. Un drame balzacien, dont Jean Cocteau fait un bizarre divertissement psychologique et policier, sorte de ballet pour intellectuels désœuvrés, auquel il ne faut demander ni vraisemblance dans les péripéties ni vérité dans les caractères.
L'action se concentre sur Didier, ses fils jumeaux Maxime et Pascal, sa fille adoptive Margot et une jeune veuve, Solange, qui a aimé Didier et qui est devenue la maîtresse de Maxime. Les rapports ambigus entre ces cinq personnages et Fred, leur ami, qui, en même temps enquête sur l'affaire, constituent l'intérêt principal de cette pièce de boulevard qui se termine en tragédie, dans la version définitive de 1941.Nb de personnages : 5 Nb d'hommes : 3 Nb de femmes : 2 Durée : 2:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=561 Paris-Théâtre, 109. La machine à écrire [texte imprimé] / Jean Cocteau, Auteur ; Jean Meyer, Metteur en scène, réalisateur . - Paris : J.-P. Mauclaire, 1956 . - p. 21-54 ; 21 cm. - (Paris Théâtre; 109) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Toute une ville affolée, exaspérée par des mystérieuses lettres s'abattant sur chaque famille, où les tares secrètes des uns et des autres étaient mises à nu, dénoncées, menacées de révélation publique. Un drame balzacien, dont Jean Cocteau fait un bizarre divertissement psychologique et policier, sorte de ballet pour intellectuels désœuvrés, auquel il ne faut demander ni vraisemblance dans les péripéties ni vérité dans les caractères.
L'action se concentre sur Didier, ses fils jumeaux Maxime et Pascal, sa fille adoptive Margot et une jeune veuve, Solange, qui a aimé Didier et qui est devenue la maîtresse de Maxime. Les rapports ambigus entre ces cinq personnages et Fred, leur ami, qui, en même temps enquête sur l'affaire, constituent l'intérêt principal de cette pièce de boulevard qui se termine en tragédie, dans la version définitive de 1941.Nb de personnages : 5 Nb d'hommes : 3 Nb de femmes : 2 Durée : 2:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=561
Paris-Théâtre, 109. La machine à écrire
Toute une ville affolée, exaspérée par des mystérieuses lettres s'abattant sur chaque famille, où les tares secrètes des uns et des autres étaient mises à nu, dénoncées, menacées de révélation publique. Un drame balzacien, dont Jean Cocteau fait un bizarre divertissement psychologique et policier, sorte de ballet pour intellectuels désœuvrés, auquel il ne faut demander ni vraisemblance dans les péripéties ni vérité dans les caractères.
L'action se concentre sur Didier, ses fils jumeaux Maxime et Pascal, sa fille adoptive Margot et une jeune veuve, Solange, qui a aimé Didier et qui est devenue la maîtresse de Maxime. Les rapports ambigus entre ces cinq personnages et Fred, leur ami, qui, en même temps enquête sur l'affaire, constituent l'intérêt principal de cette pièce de boulevard qui se termine en tragédie, dans la version définitive de 1941.Cocteau, JeanMeyer, Jean - - Paris : J.-P. Mauclaire - 1956
Paris-Théâtre, 109. La machine à écrire
Toute une ville affolée, exaspérée par des mystérieuses lettres s'abattant sur chaque famille, où les tares secrètes des uns et des autres étaient mises à nu, dénoncées, menacées de révélation publique. Un drame balzacien, dont Jean Cocteau fait un bizarre divertissement psychologique et policier, sorte de ballet pour intellectuels désœuvrés, auquel il ne faut demander ni vraisemblance dans les péripéties ni vérité dans les caractères.
L'action se concentre sur Didier, ses fils jumeaux Maxime et Pascal, sa fille adoptive Margot et une jeune veuve, Solange, qui a aimé Didier et qui est devenue la maîtresse de Maxime. Les rapports ambigus entre ces cinq personnages et Fred, leur ami, qui, en même temps enquête sur l'affaire, constituent l'intérêt principal de cette pièce de boulevard qui se termine en tragédie, dans la version définitive de 1941.Cocteau, JeanMeyer, Jean - - Paris : J.-P. Mauclaire - 1956
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190272 T COC Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Paris-Théâtre, 142. Vu du pont / Arthur Miller
Titre de série : Paris-Théâtre, 142 Titre : Vu du pont Type de document : texte imprimé Auteurs : Arthur Miller (1915-2005), Auteur ; Marcel Aymé, Adaptateur ; Peter Brook, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Paris : J.-P. Mauclaire Année de publication : 1958 Collection : Paris Théâtre num. 142 Importance : p. 21-54 Format : 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Dans la zone portuaire de Brooklyn; Alfieri, un vieil avocat ayant toujours vécu dans le quartier, raconte un fait divers tragique dont il fut le témoin impuissant : Eddie Carbone, un docker d'origine italienne, vivait avec son épouse Béatrice et leur jeune nièce Catherine, recueillie par le couple après qu’elle fût devenue orpheline.
Deux cousins de Béatrice, Marco et Rodolpho, fuyant la misère de leur région de l’Italie, arrivent illégalement aux États-Unis et trouvent refuge chez Eddie. Catherine ne tarde pas à s’éprendre de Rodolpho, envers qui Eddie éprouve pourtant une profonde méfiance. Le docker tente donc de dissuader sa nièce de fréquenter Rodolpho, mais ses efforts restent vains et bientôt les deux amants annoncent qu'ils ont l'intention de se marier. Eddie prend alors une décision qui aura de funestes conséquences. Marco et lui s’affonteront alors dans un combat qui mènera à la mort de l’un d’eux.Nb de personnages : 19 Nb d'hommes : 15 Nb de femmes : 4 Durée : 2:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=562 Paris-Théâtre, 142. Vu du pont [texte imprimé] / Arthur Miller (1915-2005), Auteur ; Marcel Aymé, Adaptateur ; Peter Brook, Metteur en scène, réalisateur . - Paris : J.-P. Mauclaire, 1958 . - p. 21-54 ; 21 cm. - (Paris Théâtre; 142) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Dans la zone portuaire de Brooklyn; Alfieri, un vieil avocat ayant toujours vécu dans le quartier, raconte un fait divers tragique dont il fut le témoin impuissant : Eddie Carbone, un docker d'origine italienne, vivait avec son épouse Béatrice et leur jeune nièce Catherine, recueillie par le couple après qu’elle fût devenue orpheline.
Deux cousins de Béatrice, Marco et Rodolpho, fuyant la misère de leur région de l’Italie, arrivent illégalement aux États-Unis et trouvent refuge chez Eddie. Catherine ne tarde pas à s’éprendre de Rodolpho, envers qui Eddie éprouve pourtant une profonde méfiance. Le docker tente donc de dissuader sa nièce de fréquenter Rodolpho, mais ses efforts restent vains et bientôt les deux amants annoncent qu'ils ont l'intention de se marier. Eddie prend alors une décision qui aura de funestes conséquences. Marco et lui s’affonteront alors dans un combat qui mènera à la mort de l’un d’eux.Nb de personnages : 19 Nb d'hommes : 15 Nb de femmes : 4 Durée : 2:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=562
Paris-Théâtre, 142. Vu du pont
Dans la zone portuaire de Brooklyn; Alfieri, un vieil avocat ayant toujours vécu dans le quartier, raconte un fait divers tragique dont il fut le témoin impuissant : Eddie Carbone, un docker d'origine italienne, vivait avec son épouse Béatrice et leur jeune nièce Catherine, recueillie par le couple après qu’elle fût devenue orpheline.
Deux cousins de Béatrice, Marco et Rodolpho, fuyant la misère de leur région de l’Italie, arrivent illégalement aux États-Unis et trouvent refuge chez Eddie. Catherine ne tarde pas à s’éprendre de Rodolpho, envers qui Eddie éprouve pourtant une profonde méfiance. Le docker tente donc de dissuader sa nièce de fréquenter Rodolpho, mais ses efforts restent vains et bientôt les deux amants annoncent qu'ils ont l'intention de se marier. Eddie prend alors une décision qui aura de funestes conséquences. Marco et lui s’affonteront alors dans un combat qui mènera à la mort de l’un d’eux.Miller, Arthur (1915-2005)Aymé, Marcel ; Brook, Peter - - Paris : J.-P. Mauclaire - 1958
Paris-Théâtre, 142. Vu du pont
Dans la zone portuaire de Brooklyn; Alfieri, un vieil avocat ayant toujours vécu dans le quartier, raconte un fait divers tragique dont il fut le témoin impuissant : Eddie Carbone, un docker d'origine italienne, vivait avec son épouse Béatrice et leur jeune nièce Catherine, recueillie par le couple après qu’elle fût devenue orpheline.
Deux cousins de Béatrice, Marco et Rodolpho, fuyant la misère de leur région de l’Italie, arrivent illégalement aux États-Unis et trouvent refuge chez Eddie. Catherine ne tarde pas à s’éprendre de Rodolpho, envers qui Eddie éprouve pourtant une profonde méfiance. Le docker tente donc de dissuader sa nièce de fréquenter Rodolpho, mais ses efforts restent vains et bientôt les deux amants annoncent qu'ils ont l'intention de se marier. Eddie prend alors une décision qui aura de funestes conséquences. Marco et lui s’affonteront alors dans un combat qui mènera à la mort de l’un d’eux.Miller, Arthur (1915-2005)Aymé, Marcel ; Brook, Peter - - Paris : J.-P. Mauclaire - 1958
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190273 T MIL Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Les Pas perdus / Denise BonalPermalinkPassagères / Daniel BesnehardPermalinkPassions et prairie / Denise BonalPermalinkPassions et prairies ; [suivi de] Légère en août / Denise BonalPermalinkPièce africaine / Catherine AnnePermalinkPoisons / Jean-Maurice ParnacPermalinkPermalinkQui a peur de Virginia Woolf ? / Edward AlbeePermalinkR.U.R. / Karel CapekPermalinkRuy Blas / Victor HugoPermalink