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L'annonce faite à Marie / Paul Claudel
Titre : L'annonce faite à Marie Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Claudel (1868-1955), Auteur Editeur : Paris [France] : Gallimard Année de publication : cop. 1940, impr. 1989 Importance : 1 vol. (218 p.) ; 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-036026-0 Note générale : Mystère en 4 actes et un prologue, créé le 22 décembre 1912 par la troupe du théâtre de l'Œuvre (salle Malakoff) Langues : Français (fre) Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Dans un « Moyen Âge de convention », Violaine, fille d'Anne Vercors, et fiancée à Jacques Hury, rencontre l'architecte Pierre de Craon, qui l'a autrefois désirée et a, depuis, contracté la lèpre. Violaine consent à lui donner, par compassion et charité, un baiser d'adieu. Mais la scène a été surprise par sa sœur Mara, amoureuse de Hury, et celle-ci va tout tenter pour nuire à sa rivale. C'est à ce moment que le père, Anne, annonce son intention subite d'abandonner la prospérité du domaine familial pour se rendre en Terre sainte laissant à Jacques le patronage de la maison et la main de Violaine.
À la suite du baiser donné à Pierre de Craon, Violaine contracte également la lèpre et, dénoncée par sa sœur, elle se voit reniée par les siens et abandonnée par son fiancé qui l'envoie dans une léproserie et épouse Mara. Elle se retire dans la forêt malade pour se vouer à Dieu. Mais voici que meurt l'enfant né du mariage de Mara et de Jacques. Désespérée, Mara va supplier la lépreuse dans sa caverne durant la nuit de Noël : elle ne l'aime pas, mais elle a foi dans la vertu de sa sainteté qui peut obtenir de Dieu un miracle. Violaine l'associe à ses prières et ressuscite l'enfant dont les yeux prennent alors la couleur des yeux bleus de Violaine alors qu'ils étaient noirs comme Mara.
À l'acte suivant, Violaine est tuée par Mara, toujours jalouse et, avant de mourir, elle obtient pour cette dernière le pardon de son père et de son mari. Et, tandis que la lèpre de Pierre de Craon a été mystérieusement guérie, Mara trouve enfin la paix dans le pardon, au son des cloches de l'Angélus dont le premier versicule donne son titre à la pièce : Angelus Domini nuntiavit Mariae (« L’ange du Seigneur apporta l’annonce à Marie »). L'histoire de cette jeune fille Violaine devenant progressivement une sainte, assimilée à la Vierge Marie donne finalement la signification de ce mystère : la « possession d´une âme par le surnaturel », comme l´a décrit Claudel lui-même.Nb de personnages : 6 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 4 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=281 L'annonce faite à Marie [texte imprimé] / Paul Claudel (1868-1955), Auteur . - Paris [France] : Gallimard, cop. 1940, impr. 1989 . - 1 vol. (218 p.) ; 18 cm.
ISBN : 978-2-07-036026-0
Mystère en 4 actes et un prologue, créé le 22 décembre 1912 par la troupe du théâtre de l'Œuvre (salle Malakoff)
Langues : Français (fre)
Catégories : Drame Index. décimale : T Théâtre Résumé : Dans un « Moyen Âge de convention », Violaine, fille d'Anne Vercors, et fiancée à Jacques Hury, rencontre l'architecte Pierre de Craon, qui l'a autrefois désirée et a, depuis, contracté la lèpre. Violaine consent à lui donner, par compassion et charité, un baiser d'adieu. Mais la scène a été surprise par sa sœur Mara, amoureuse de Hury, et celle-ci va tout tenter pour nuire à sa rivale. C'est à ce moment que le père, Anne, annonce son intention subite d'abandonner la prospérité du domaine familial pour se rendre en Terre sainte laissant à Jacques le patronage de la maison et la main de Violaine.
À la suite du baiser donné à Pierre de Craon, Violaine contracte également la lèpre et, dénoncée par sa sœur, elle se voit reniée par les siens et abandonnée par son fiancé qui l'envoie dans une léproserie et épouse Mara. Elle se retire dans la forêt malade pour se vouer à Dieu. Mais voici que meurt l'enfant né du mariage de Mara et de Jacques. Désespérée, Mara va supplier la lépreuse dans sa caverne durant la nuit de Noël : elle ne l'aime pas, mais elle a foi dans la vertu de sa sainteté qui peut obtenir de Dieu un miracle. Violaine l'associe à ses prières et ressuscite l'enfant dont les yeux prennent alors la couleur des yeux bleus de Violaine alors qu'ils étaient noirs comme Mara.
À l'acte suivant, Violaine est tuée par Mara, toujours jalouse et, avant de mourir, elle obtient pour cette dernière le pardon de son père et de son mari. Et, tandis que la lèpre de Pierre de Craon a été mystérieusement guérie, Mara trouve enfin la paix dans le pardon, au son des cloches de l'Angélus dont le premier versicule donne son titre à la pièce : Angelus Domini nuntiavit Mariae (« L’ange du Seigneur apporta l’annonce à Marie »). L'histoire de cette jeune fille Violaine devenant progressivement une sainte, assimilée à la Vierge Marie donne finalement la signification de ce mystère : la « possession d´une âme par le surnaturel », comme l´a décrit Claudel lui-même.Nb de personnages : 6 Nb d'hommes : 2 Nb de femmes : 4 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=281
L'annonce faite à Marie
Dans un « Moyen Âge de convention », Violaine, fille d'Anne Vercors, et fiancée à Jacques Hury, rencontre l'architecte Pierre de Craon, qui l'a autrefois désirée et a, depuis, contracté la lèpre. Violaine consent à lui donner, par compassion et charité, un baiser d'adieu. Mais la scène a été surprise par sa sœur Mara, amoureuse de Hury, et celle-ci va tout tenter pour nuire à sa rivale. C'est à ce moment que le père, Anne, annonce son intention subite d'abandonner la prospérité du domaine familial pour se rendre en Terre sainte laissant à Jacques le patronage de la maison et la main de Violaine.
À la suite du baiser donné à Pierre de Craon, Violaine contracte également la lèpre et, dénoncée par sa sœur, elle se voit reniée par les siens et abandonnée par son fiancé qui l'envoie dans une léproserie et épouse Mara. Elle se retire dans la forêt malade pour se vouer à Dieu. Mais voici que meurt l'enfant né du mariage de Mara et de Jacques. Désespérée, Mara va supplier la lépreuse dans sa caverne durant la nuit de Noël : elle ne l'aime pas, mais elle a foi dans la vertu de sa sainteté qui peut obtenir de Dieu un miracle. Violaine l'associe à ses prières et ressuscite l'enfant dont les yeux prennent alors la couleur des yeux bleus de Violaine alors qu'ils étaient noirs comme Mara.
À l'acte suivant, Violaine est tuée par Mara, toujours jalouse et, avant de mourir, elle obtient pour cette dernière le pardon de son père et de son mari. Et, tandis que la lèpre de Pierre de Craon a été mystérieusement guérie, Mara trouve enfin la paix dans le pardon, au son des cloches de l'Angélus dont le premier versicule donne son titre à la pièce : Angelus Domini nuntiavit Mariae (« L’ange du Seigneur apporta l’annonce à Marie »). L'histoire de cette jeune fille Violaine devenant progressivement une sainte, assimilée à la Vierge Marie donne finalement la signification de ce mystère : la « possession d´une âme par le surnaturel », comme l´a décrit Claudel lui-même.Claudel, Paul (1868-1955) - Paris (France) : Gallimard - cop. 1940, impr. 1989
Mystère en 4 actes et un prologue, créé le 22 décembre 1912 par la troupe du théâtre de l'Œuvre (salle Malakoff)
L'annonce faite à Marie
Dans un « Moyen Âge de convention », Violaine, fille d'Anne Vercors, et fiancée à Jacques Hury, rencontre l'architecte Pierre de Craon, qui l'a autrefois désirée et a, depuis, contracté la lèpre. Violaine consent à lui donner, par compassion et charité, un baiser d'adieu. Mais la scène a été surprise par sa sœur Mara, amoureuse de Hury, et celle-ci va tout tenter pour nuire à sa rivale. C'est à ce moment que le père, Anne, annonce son intention subite d'abandonner la prospérité du domaine familial pour se rendre en Terre sainte laissant à Jacques le patronage de la maison et la main de Violaine.
À la suite du baiser donné à Pierre de Craon, Violaine contracte également la lèpre et, dénoncée par sa sœur, elle se voit reniée par les siens et abandonnée par son fiancé qui l'envoie dans une léproserie et épouse Mara. Elle se retire dans la forêt malade pour se vouer à Dieu. Mais voici que meurt l'enfant né du mariage de Mara et de Jacques. Désespérée, Mara va supplier la lépreuse dans sa caverne durant la nuit de Noël : elle ne l'aime pas, mais elle a foi dans la vertu de sa sainteté qui peut obtenir de Dieu un miracle. Violaine l'associe à ses prières et ressuscite l'enfant dont les yeux prennent alors la couleur des yeux bleus de Violaine alors qu'ils étaient noirs comme Mara.
À l'acte suivant, Violaine est tuée par Mara, toujours jalouse et, avant de mourir, elle obtient pour cette dernière le pardon de son père et de son mari. Et, tandis que la lèpre de Pierre de Craon a été mystérieusement guérie, Mara trouve enfin la paix dans le pardon, au son des cloches de l'Angélus dont le premier versicule donne son titre à la pièce : Angelus Domini nuntiavit Mariae (« L’ange du Seigneur apporta l’annonce à Marie »). L'histoire de cette jeune fille Violaine devenant progressivement une sainte, assimilée à la Vierge Marie donne finalement la signification de ce mystère : la « possession d´une âme par le surnaturel », comme l´a décrit Claudel lui-même.Claudel, Paul (1868-1955) - Paris (France) : Gallimard - cop. 1940, impr. 1989
Mystère en 4 actes et un prologue, créé le 22 décembre 1912 par la troupe du théâtre de l'Œuvre (salle Malakoff)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190036 T CLA Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Antigone / Jean Anouilh
Titre : Antigone Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Anouilh, Auteur Editeur : La table ronde Année de publication : 1977 Importance : 1 vol. (133 p.) ; 19 cm Note générale : Pièce représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944 Langues : Français (fre) Catégories : Tragédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Antigone est la fille d’Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes.Après le suicide de Jocaste et l’exil d’Œdipe, les deux frères d’Antigone, Etéocle et Polynice ont tué l’autre pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste, et – en tant que telle – le nouveau roi, a décidé de ne pas offrir d’inhumation Etéocle et Polynice pas, décrit comme voyou et de traître. Il a averti par un édit que quiconque ose à enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n’ose braver l’interdiction et le cadavre de Polynice est laissé à la chaleur et les charognards.
Seule Antigone refuse cela. Malgré l’interdiction de son oncle, elle est allée plusieurs fois pour le corps de son frère et tente de le recouvrir de terre. Ismène, sa sœur informé de sa décision, refuser de suivre, craignant sa propre mort.
Bientôt, Antigone est surprise en flagrant délit par les gardes du roi. Créon est obligé d’appliquer la peine de mort à Antigone. Après une longue discussion avec son oncle sur le but de l’existence, elle est condamnée à être enterrée vivante. Mais quand le tombeau sera scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, le fiancé d’Antigone, s’est limité à la femme qu’il aime. Quand il rouvre le tombeau, Antigone s’est pendue à sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, a ouvert le ventre avec son épée.Desperate par la disparition du fils qu’elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3 Antigone [texte imprimé] / Jean Anouilh, Auteur . - La table ronde, 1977 . - 1 vol. (133 p.) ; 19 cm.
Pièce représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944
Langues : Français (fre)
Catégories : Tragédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Antigone est la fille d’Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes.Après le suicide de Jocaste et l’exil d’Œdipe, les deux frères d’Antigone, Etéocle et Polynice ont tué l’autre pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste, et – en tant que telle – le nouveau roi, a décidé de ne pas offrir d’inhumation Etéocle et Polynice pas, décrit comme voyou et de traître. Il a averti par un édit que quiconque ose à enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n’ose braver l’interdiction et le cadavre de Polynice est laissé à la chaleur et les charognards.
Seule Antigone refuse cela. Malgré l’interdiction de son oncle, elle est allée plusieurs fois pour le corps de son frère et tente de le recouvrir de terre. Ismène, sa sœur informé de sa décision, refuser de suivre, craignant sa propre mort.
Bientôt, Antigone est surprise en flagrant délit par les gardes du roi. Créon est obligé d’appliquer la peine de mort à Antigone. Après une longue discussion avec son oncle sur le but de l’existence, elle est condamnée à être enterrée vivante. Mais quand le tombeau sera scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, le fiancé d’Antigone, s’est limité à la femme qu’il aime. Quand il rouvre le tombeau, Antigone s’est pendue à sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, a ouvert le ventre avec son épée.Desperate par la disparition du fils qu’elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.Nb de personnages : 9 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 3 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3
Antigone
Antigone est la fille d’Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes.Après le suicide de Jocaste et l’exil d’Œdipe, les deux frères d’Antigone, Etéocle et Polynice ont tué l’autre pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste, et – en tant que telle – le nouveau roi, a décidé de ne pas offrir d’inhumation Etéocle et Polynice pas, décrit comme voyou et de traître. Il a averti par un édit que quiconque ose à enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n’ose braver l’interdiction et le cadavre de Polynice est laissé à la chaleur et les charognards.
Seule Antigone refuse cela. Malgré l’interdiction de son oncle, elle est allée plusieurs fois pour le corps de son frère et tente de le recouvrir de terre. Ismène, sa sœur informé de sa décision, refuser de suivre, craignant sa propre mort.
Bientôt, Antigone est surprise en flagrant délit par les gardes du roi. Créon est obligé d’appliquer la peine de mort à Antigone. Après une longue discussion avec son oncle sur le but de l’existence, elle est condamnée à être enterrée vivante. Mais quand le tombeau sera scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, le fiancé d’Antigone, s’est limité à la femme qu’il aime. Quand il rouvre le tombeau, Antigone s’est pendue à sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, a ouvert le ventre avec son épée.Desperate par la disparition du fils qu’elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.Anouilh, Jean - France : La table ronde - 1977
Pièce représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944
Antigone
Antigone est la fille d’Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes.Après le suicide de Jocaste et l’exil d’Œdipe, les deux frères d’Antigone, Etéocle et Polynice ont tué l’autre pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste, et – en tant que telle – le nouveau roi, a décidé de ne pas offrir d’inhumation Etéocle et Polynice pas, décrit comme voyou et de traître. Il a averti par un édit que quiconque ose à enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n’ose braver l’interdiction et le cadavre de Polynice est laissé à la chaleur et les charognards.
Seule Antigone refuse cela. Malgré l’interdiction de son oncle, elle est allée plusieurs fois pour le corps de son frère et tente de le recouvrir de terre. Ismène, sa sœur informé de sa décision, refuser de suivre, craignant sa propre mort.
Bientôt, Antigone est surprise en flagrant délit par les gardes du roi. Créon est obligé d’appliquer la peine de mort à Antigone. Après une longue discussion avec son oncle sur le but de l’existence, elle est condamnée à être enterrée vivante. Mais quand le tombeau sera scellé, Créon apprend que son fils, Hémon, le fiancé d’Antigone, s’est limité à la femme qu’il aime. Quand il rouvre le tombeau, Antigone s’est pendue à sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, a ouvert le ventre avec son épée.Desperate par la disparition du fils qu’elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.Anouilh, Jean - France : La table ronde - 1977
Pièce représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190019 T ANO Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Architruc / Robert Pinget
Titre : Architruc Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Pinget, Auteur Année de publication : 1962 Importance : p. 32-38 Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Un roi et son premier ministre Baga, vivent reclus dans un minuscule appartement. il semble qu’autour d’eux, leur monde se soit effondré. ils sont des vestiges du passé, d’un autre temps. Le temps suspendu qu’il faut habiter. alors ils tuent le temps. Le premier ministre devient le fou du roi, l’alter-ego, le comparse. ils sont vieux, usés, fatigués ; mais leurs esprits restent jeunes et gaillards. ils combattent le nouveau monde qui vient s’abattre sur eux. Fable drôle, cruelle et dérisoire sur la perte du sens et de la responsabilité, elle raconte avec humour et tendresse le passage d’un monde à un autre, d’un temps à un autre. Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 4 Durée : 1:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=529 Architruc [texte imprimé] / Robert Pinget, Auteur . - 1962 . - p. 32-38.
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Un roi et son premier ministre Baga, vivent reclus dans un minuscule appartement. il semble qu’autour d’eux, leur monde se soit effondré. ils sont des vestiges du passé, d’un autre temps. Le temps suspendu qu’il faut habiter. alors ils tuent le temps. Le premier ministre devient le fou du roi, l’alter-ego, le comparse. ils sont vieux, usés, fatigués ; mais leurs esprits restent jeunes et gaillards. ils combattent le nouveau monde qui vient s’abattre sur eux. Fable drôle, cruelle et dérisoire sur la perte du sens et de la responsabilité, elle raconte avec humour et tendresse le passage d’un monde à un autre, d’un temps à un autre. Nb de personnages : 4 Nb d'hommes : 4 Durée : 1:00 modulable : Oui Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=529
Architruc
Un roi et son premier ministre Baga, vivent reclus dans un minuscule appartement. il semble qu’autour d’eux, leur monde se soit effondré. ils sont des vestiges du passé, d’un autre temps. Le temps suspendu qu’il faut habiter. alors ils tuent le temps. Le premier ministre devient le fou du roi, l’alter-ego, le comparse. ils sont vieux, usés, fatigués ; mais leurs esprits restent jeunes et gaillards. ils combattent le nouveau monde qui vient s’abattre sur eux. Fable drôle, cruelle et dérisoire sur la perte du sens et de la responsabilité, elle raconte avec humour et tendresse le passage d’un monde à un autre, d’un temps à un autre.
Pinget, Robert - 1962
Architruc
Un roi et son premier ministre Baga, vivent reclus dans un minuscule appartement. il semble qu’autour d’eux, leur monde se soit effondré. ils sont des vestiges du passé, d’un autre temps. Le temps suspendu qu’il faut habiter. alors ils tuent le temps. Le premier ministre devient le fou du roi, l’alter-ego, le comparse. ils sont vieux, usés, fatigués ; mais leurs esprits restent jeunes et gaillards. ils combattent le nouveau monde qui vient s’abattre sur eux. Fable drôle, cruelle et dérisoire sur la perte du sens et de la responsabilité, elle raconte avec humour et tendresse le passage d’un monde à un autre, d’un temps à un autre.
Pinget, Robert - 1962
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ardèle ou la marguerite / Jean Anouilh
Titre : Ardèle ou la marguerite Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Anouilh, Auteur Editeur : Paris : Réalités Année de publication : 1949 Collection : Réalités littéraires Importance : 29 p. Format : 20 cm Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Ardèle est enfermée par son frère car elle est tombée amoureuse du précepteur du jeune Toto. Du ménage à trois au, général coureur de jupons, jean Anouilh n'épargne aucun des personnages dans cette pièce grinçante. Nb de personnages : 11 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 5 Durée : 2:00 modulable : Non Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=563 Ardèle ou la marguerite [texte imprimé] / Jean Anouilh, Auteur . - Paris : Réalités, 1949 . - 29 p. ; 20 cm. - (Réalités littéraires) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Ardèle est enfermée par son frère car elle est tombée amoureuse du précepteur du jeune Toto. Du ménage à trois au, général coureur de jupons, jean Anouilh n'épargne aucun des personnages dans cette pièce grinçante. Nb de personnages : 11 Nb d'hommes : 6 Nb de femmes : 5 Durée : 2:00 modulable : Non Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=563
Ardèle ou la marguerite
Ardèle est enfermée par son frère car elle est tombée amoureuse du précepteur du jeune Toto. Du ménage à trois au, général coureur de jupons, jean Anouilh n'épargne aucun des personnages dans cette pièce grinçante.
Anouilh, Jean - Paris : Réalités - 1949
Ardèle ou la marguerite
Ardèle est enfermée par son frère car elle est tombée amoureuse du précepteur du jeune Toto. Du ménage à trois au, général coureur de jupons, jean Anouilh n'épargne aucun des personnages dans cette pièce grinçante.
Anouilh, Jean - Paris : Réalités - 1949
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190270 T ANO Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt Arlequin serviteur de deux maîtres / Carlo Goldoni
Titre : Arlequin serviteur de deux maîtres Titre original : Il servitore di due padroni Type de document : texte imprimé Auteurs : Carlo Goldoni (1707-1793), Auteur Editeur : Garnier Flammarion Année de publication : 1996 Collection : Théâtre bilingue Importance : 1 vol. (305 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-070894-6 Note générale : Comédie écrite en 1745 Langues : Français (fre) Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Pour améliorer son ordinaire et pouvoir manger à sa faim, Arlequin se montre rusé et sert deux maîtres à la fois. Seulement les choses se compliquent car les deux maîtres logent dans la même auberge et se révèlent être les deux moitiés d’un couple amoureux, ignorant chacun la présence de l’autre. Déguisée en homme, Béatrice usurpe en effet l’identité de son frère tué en duel par son amant pour le retrouver. Mais, sa présence vient compliquer le mariage prévu entre Silvio et Clarice, cette dernière étant promise au frère de Béatrice. Quant à Arlequin, il aimerait bien obtenir la main de Sméraldine. De quiproquos en quiproquos, les choses finiront par s’arranger. Nb de personnages : 11 Nb d'hommes : 7 Nb de femmes : 4 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4 Arlequin serviteur de deux maîtres = Il servitore di due padroni [texte imprimé] / Carlo Goldoni (1707-1793), Auteur . - Garnier Flammarion, 1996 . - 1 vol. (305 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Théâtre bilingue) .
ISBN : 978-2-08-070894-6
Comédie écrite en 1745
Langues : Français (fre)
Catégories : Comédie Index. décimale : T Théâtre Résumé : Pour améliorer son ordinaire et pouvoir manger à sa faim, Arlequin se montre rusé et sert deux maîtres à la fois. Seulement les choses se compliquent car les deux maîtres logent dans la même auberge et se révèlent être les deux moitiés d’un couple amoureux, ignorant chacun la présence de l’autre. Déguisée en homme, Béatrice usurpe en effet l’identité de son frère tué en duel par son amant pour le retrouver. Mais, sa présence vient compliquer le mariage prévu entre Silvio et Clarice, cette dernière étant promise au frère de Béatrice. Quant à Arlequin, il aimerait bien obtenir la main de Sméraldine. De quiproquos en quiproquos, les choses finiront par s’arranger. Nb de personnages : 11 Nb d'hommes : 7 Nb de femmes : 4 Permalink : http://alj-theatre-pluch.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4
Arlequin serviteur de deux maîtres
Pour améliorer son ordinaire et pouvoir manger à sa faim, Arlequin se montre rusé et sert deux maîtres à la fois. Seulement les choses se compliquent car les deux maîtres logent dans la même auberge et se révèlent être les deux moitiés d’un couple amoureux, ignorant chacun la présence de l’autre. Déguisée en homme, Béatrice usurpe en effet l’identité de son frère tué en duel par son amant pour le retrouver. Mais, sa présence vient compliquer le mariage prévu entre Silvio et Clarice, cette dernière étant promise au frère de Béatrice. Quant à Arlequin, il aimerait bien obtenir la main de Sméraldine. De quiproquos en quiproquos, les choses finiront par s’arranger.
Goldoni, Carlo (1707-1793) - France : Garnier Flammarion - 1996
Comédie écrite en 1745
Arlequin serviteur de deux maîtres
Pour améliorer son ordinaire et pouvoir manger à sa faim, Arlequin se montre rusé et sert deux maîtres à la fois. Seulement les choses se compliquent car les deux maîtres logent dans la même auberge et se révèlent être les deux moitiés d’un couple amoureux, ignorant chacun la présence de l’autre. Déguisée en homme, Béatrice usurpe en effet l’identité de son frère tué en duel par son amant pour le retrouver. Mais, sa présence vient compliquer le mariage prévu entre Silvio et Clarice, cette dernière étant promise au frère de Béatrice. Quant à Arlequin, il aimerait bien obtenir la main de Sméraldine. De quiproquos en quiproquos, les choses finiront par s’arranger.
Goldoni, Carlo (1707-1793) - France : Garnier Flammarion - 1996
Comédie écrite en 1745
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 85190121 T GOL Livre ALJ Théâtre Pluch' - Rocheservière Théâtre Exclu du prêt L'Ascenseur du Quai d'Orsay / Jean-Jacques TourteauPermalinkAséta / Catherine AnnePermalinkÀ l'atelier / Georges CourtelinePermalinkAthalie / Jean RacinePermalinkL'Autre / Pierre Jakez HéliasPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 105. Un cas intéressant. [suivi de]Dans l'histoire du coeur. [et de]Liseron ou le destin de la fille / Dino BuzzatiPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 106. La Raison des autres. [suivi de]Bellavita. [et de]L'Autre / Luigi PirandelloPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 107. La condition humaine. [suivi de] La traversée / André MalrauxPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 108. La Mouette. [suivi de]La mort de Maximilien d'Autriche / Anton TchekhovPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 109. Isabelle et le pélican : ou Bébés à gogo. [suivi de]La fleur à la bouche / Marcel FranckPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 109. Le ping-pong. [suivi de]Le gardien des oiseau / Arthur AdamovPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 110. Les fiancés de la Seine. [suivi de] À son image ; La demande en mariage ; Pour être joué / Morvan LebesquePermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 111. Elizabeth : la femme sans homme. [suivi de] Le médecin de Cucugnan / André JossetPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 113. Le pavillon des enfants. [suivi de] Le collier de jade / Jean SarmentPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 114. La manière forte. [suivi de] Matinée de soleil / Jacques DevalPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 115. Le prince d'Egypte. [suivi de] La sérénissime ; Des femmes dans l'orage / Christopher FryPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 116. Les poissons d'or. [suivi de] Le cirque aux illusions / René AubertPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 117. Les petites têtes [suivi de] Kessa Gozene / Max RegnierPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 118. L'éternel mari. [suivi de] Monsieur et mesdames Kluck / Fiodor DostoïevskiPermalinkL'Avant-scène : journal du théatre, 119. Le chien du jardinier. [suivi de] Le système deux / Georges NeveuxPermalink